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15 avril 2008

RSF et Ménard impliqués dans un scandale de corruption

Quelque chose nous disait que Robert Ménard appartient à cette race d'individus peu scrupuleux pour qui, la manipulation et l'escroquerie sont des instruments dont il se sert pour arriver à sas fins. RESF comme bien d'autres organisations de droits de l'hommiste, se révèle être un antre de la magouille en tout genre comme en témoigne l'information ci-dessous.

PAR JEAN-GUY ALLARD

Reporters sans frontières (RSF) garde un silence total depuis quelques jours sur la scandale de corruption qui dégringole sur les principales sources de fonds aux Etats-Unis, le Cuban Freedom Center, de l'agent de la CIA, Frak Calzon, ami personnel du Secrétaire perpétuel et autoproclamé de l'organisation française Robert Ménard.

Le porte-parole de Bush, Scott Stanzel, a révélé il y a peu que le cas de Felipe Sixto, un conseiller présidentiel sur les questions cubaines et de Puerto Rico qui travaillait durant des années avec Calzon a été transféré au Département de la justice après qu'a été découvert que ce fonctionnaire était impliqué dans des activités de détournement de fonds.

Menard reçoit depuis longtemps de généreux subsides de l’organisation de Calzon, avec lequel il a noué des relations d'amitié.

L'utilisation illicite de fonds provenant de la United States Agency for International Development (USAID) a été détecté à la fin de janvier 2008, selon la confession de Calzon dans des déclarations publiques dans lesquelles il nie désespérément toute responsabilité dans les activités criminelles de son bras droit.

Selon AP, Sixto a laissé son poste à l'organisation de Calzon et s'est incorporé au bureau des Affaires intergouvernementales de la Maison Blanche comme conseiller spécial du Président au mois de juillet dernier et « avait comme mission le contact avec les fonctionnaires hispaniques, les groupes indiens et les législateurs des états dans les affaires concernant les relations avec Cuba, Puerto Rico, l'hygiène, les questions du travail, ou du milieu ambiant ».

Jusqu'à aujourd'hui, Calzon s'est abstenu d'expliquer pour quoi Sixto, qui était son plus indispensable collaborateur, a accepté subitement de quitter son organisation l'été dernier.

le GAO AVAIT DEJA MIS LE DOIGT DANS LA PLAIE

Résidant à Washington, le Cuban Freedom Center prétend passer pour une « organisation non gouvernementale » dont la mission est de promouvoir « les droits de l4homme et la transition démocratique » à Cuba. Sixto, un cubain de Miami résidant à .Frederick, Maryland, entretient des relations assidues avec les membres connus de la mafia cubanoaméricaine.

RSF possède en Floride des liens étroits avec des individus identifiés par le FBI lui-même comme terroristes et avec des groupes qui appuient ouvertement le terrorisme contre Cuba.

« Rien jusqu'ici ne met en relation le Cuban Freedom Center et je suis sûr que rien (en plus) ne l'a impliqué ou est actuellement impliqué dans ces activités », a juré Calzon à la AFP. L'agence Française affirme dans un câble que l'organisation de Calzon et de Sixto a envoyé à Cuba « des milliers de livres, ordinateurs portables, radios ondes courtes et médicaments »

Cependant, une enquête du General Accountability Office (GAO) un bureau de contrôle du gouvernement fédéral dans un rapport de 50 pages publié il y a quelques mois note que très peu des dizaines de millions distribués pour la USAID sous la Rubrique Cuba est effectivement parvenu dans l'île.

Un nombre important des organisations parasitaires de la « dissidence » de Miami s'est approprié cette fortune quand elle a touché la Floride.

Plus de 95% , c'est-à-dire la quasi-totalité des 65,4 millions du budget Cuba de la USAID examiné par le GAO a été attribué «en réponse à des propositions non sollicitées » sans justification légale, révélait le rapport.

Parmi les grands bénéficiaires de cette opération de détournement de fonds on trouve Cuban Freedom Center, de Calzón, qui a bénéficié de plus de 5 millions entre 1996 et 2005.

Comme si cela n'était pas suffisant, la USAID a reçu des subsides également de National Endowment for Democracy (IRI) et de la International Republican Institute (IRI), deux autres pourvoyeurs de RSF. Ce n'est pas par plaisir que Robert Ménard maintient un bureau à New York, et dispose d'une signature comptable en Virginie, à quelques minutes du Bunker de la CIA, en plus d'un compte bancaire nord-américain auquel lui seul a accès.

CALZON, UN EX TERRORISTE DU GROUPE ABDALA

A la fin des années 60, Frank Calzon, alors agent spécial de la CIA, a été le dirigeant du groupe terroriste Abdala, lié au mal nommé Front de Libération National de Cuba (FLNC).

Calzon devint à être directeur exécutif de la Fundación Nacional Cubano Americana (FNCA), depuis sa création en 1981, sous la directive de la Maison blanche de Ronald Reagan. Une organisation connue pour son appui aux activités criminelles du terroriste Luis Posada Carriles.

A partir de 1987, il passa à l'organisation d'extrême droite Freedom House pour là se créer une organisation propre,le Cuban Freedom Center, qui immédiatement reçut 400 mille dollars de la part du Gouvernement des Etats-Unis.

Ménard a connu Calzon à ce moment-là par l'intermédiaire de Otto Reich, un autre haut fonctionnaire nord américain, né à Cuba de père autrichien.

Durant ces années Robert Ménard nia ses relations avec Calzon.

En mars 2004, Ménard et Calzon se présentèrent en public ensemble, avec une mercenaire connue de Miami, Silvia Iriondo, dans une réunion avec les députés européens, provoquée par les alliés de José María Aznar dans l'Union Européenne.

En mai, Calzon mit la main sur 5 des 34 millions que Bush avait assignés pour la bonne marche de son plan d'annexion de Cuba. Reporters sans frontières s'est alors attribué une part du gâteau. Cependant, il fallut attendre un forum sur internet de l'hebdomadaire Nouvel Observateur, le 22 octobre 2004, pour que le chef de RSF reconnaisse ouvertement ses liens avec l'ex-agent de la CIA.

Pendant ce temps-là il développait en France des campagnes médiatiques qui montraient aux secteurs progressistes, que le chef de RSF obéissait aux directives très claires des renseignements nord-américains, Ce qui expliqua pourquoi il resta silencieux il y a peu quand d'importants médias progressistes comme la page web rebelion.org et l'Agence Bolivarienne d'Information ont été censurés par divers serveurs d'Intenet en Suisse et d'autres pays d'Europe.

Face au scandale Sixto-Calzon, Ménard a préféré éviter la question et réaliser en France une bruyante campagne contre la Chine, avec la presse française, propriété des mêmes grandes fortunes qui le soutiennent.

Néanmoins à Miami, il apparaît que la cas Sixto-Calzon est seulement la pointe de l'iceberg et que de nouvelles investigations pourraient promptement révéler d'autres scandaleux chapitres de la sale guerre contre Cuba menée depuis 50 ans par le gouvernement de Washington.

J.G.Allard

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EXTRAIT DU M�MORANDUM CORRIG� :<br /> B�TISSONS ENSEMBLE UN �TAT DE DROIT - L'HISTOIRE SE R�P�TE-T-ELL E?<br /> ADRESS� AUX PATRIOTES DJIBOUTIENS : AUX V�RITABLES MOUVEMENTS D'OPPOSITION ET AUX VRAIS D�FENSEURS DES DROITS HUMAINS<br /> <br /> I - ANATOMIE D'UN DICTATEUR - L'ASCENSION D'ISMA�L OMAR GUELLEH, UN INDIC CAGOUL� DE LA POLICE COLONIALE FRAN�AISE INTRONIS�, "DE FACTO", PR�SIDENT DE DJIBOUTI, LE 27 JUIN 1977 PAR LA FRANCE ET "DE JURE", DEPUIS LE 8 MAI 1999, SUITE AUX �LECTIONS FRAUDULEUSES, DU 9 AVRIL 1999 ET MAINTENU AU POUVOIR, DEPUIS SEPTEMBRE 2002, PAR LES �TATS-UNIS D'AM�RIQUE ET SES VALETS.<br /> <br /> � La grandeur des chefs n'est pas dans leur personne, mais dans la mesure o� ils servent la grandeur de leur peuple. � Jos� Marti <br /> <br /> MAIS QUI EST CE MONSTRE ISMA�L OMAR GUELLEH ?<br /> BREF APER�U DES CRIMES ABOMINABLES PERP�TR�S PAR GUELLEH LA TERREUR CONTRE LE PEUPLE DJIBOUTIEN<br /> <br /> La Nation djiboutienne sait depuis belle lurette que le dictateur sanguinaire I.O. Guelleh est un homme sans foi ni loi, inculte, sans �ducation ni instruction et qui s'est accapar� du pouvoir de notre pays, de ��facto��, le 27 juin 1977 et de ��jure��, � partir du 9 avril 1999, toujours avec l'aide de ses ma�tres �trangers en utilisant tous les subterfuges ill�gaux et immondes. En r�alit�, Guelleh dirige ses subordonn�s avec un bras de fer, gifle m�me ses ministres et ses magistrats lorsqu'ils h�sitent d'appliquer promptement ses ordres iniques.<br /> <br /> La nature criminelle du despote Guelleh n'est plus � d�montrer � Djibouti car notre peuple conna�t bien sa cruaut�, ses violations des droits humains, ses attentats terroristes contre des civils innocents et ses tra�trises... � pr�sent, il est temps que l'opinion publique internationale et les gouvernements des pays du Sud �pris de libert� et de justice sachent avec quel monstre, ils sont entrain de faire coalition. Ce texte pourrait aussi donner un bref aper�u � la nouvelle g�n�ration djiboutienne de ce qu'est le monstre Isma�l Omar Guelleh afin qu'elle connaisse mieux son parcours depuis qu'il a quitt� son pays natal, l'�thiopie et qu'il a foul� le sol de notre pays, Djibouti, au d�but des ann�es 1960. <br /> <br /> AVANT L'IND�PENDANCE DE DJIBOUTI, GUELLEH �TAIT UN ESPION A LA CAGOULE (CH�DARL�) ET UN RACKETTEUR DE PROSTITU�ES. <br /> <br /> Il est n� et grandi � Dir�-Dawa en �thiopie. Ce n'est pas un secret de polichinelle que d'affirmer qu'Isma�l Omar Guelleh, d�s son arriv�e � Djibouti, en 1964, est devenu un petit "askari" (Chawich), indic de la police coloniale fran�aise. Il espionnait les ind�pendantistes et les identifiait aux postes de la police et de la gendarmerie en portant une cagoule sur sa t�te lorsqu'il participait � la torture des ind�pendantistes djiboutiens qu'il d�non�ait, d'o� son surnom somalien de "Ch�darl�". � cause de lui, plusieurs patriotes qui luttaient pacifiquement pour l'ind�pendance de notre pays et la libert� de notre Peuple ont �t� tortur�s, viol�s et expuls�s de leur patrie, Djibouti. Suite � ses d�nonciations, plusieurs patriotes ont succomb� sous la torture et certains parmi eux ont �t� assassin�s par les balles des occupants coloniaux durant la lutte de lib�ration nationale. <br /> <br /> L'indic Guelleh qui d�non�ait les ind�pendantistes pour quelques mis�rables milliers de francs djiboutiens, s'est vu r�compenser pour sa tra�trise par les autorit�s coloniales fran�aises qui l'ont enfin engag� officiellement, comme enqu�teur, dans la police des moeurs, afin qu'il puisse arrondir ses fins de mois, assouvir sa bestialit� sexuelle en r�dant autour des bars de Djibouti-ville et taxer les pauvres prostitu�es Somaliennes ainsi que ses �compatriotes� �thiopiennes. Ses fr�quentations des bars (avec son ami Jean-Paul Abdi No�l) lui ont cr�� une addiction � l'alcool,<br /> d'autant plus qu'il buvait de plus en plus pour oublier les cris des victimes qu'il d�non�ait et qui souffraient sous la torture des forces d'occupation coloniales. C'est ainsi qu'il devint un alcoolique.<br /> <br /> Il �tait aussi un racketteur et se faisait payer par les voyageurs qui passaient par l'a�roport de Djibouti o� il �tait stationn�. Le moins que l'on puisse dire est que ses extorsions de l'�poque �taient semblables � celles d'Al-Capone aux E.U.A.<br /> <br /> En 1973, un parti appel� Ligue Populaire Africaine (LPA) fut cr�� par la coalition des trois partis dirig�s par trois Harkis Djiboutiens : Hassan Gouled Aptidon, Ahmed Dini Ahmed et Moumin Bahdon Farah pour combattre et remplacer le Harki, Ali Aref Bourhan et l'objectif de ces dirigeants �tait plut�t de servir � leur tour les colonialistes fran�ais. Le leader �tait Hassan Gouled Aptidon �oncle� d'Isma�l Omar Guelleh. Fin 1975, ce parti a ajout� le mot I = ind�pendance lorsque la France a promis � ses dirigeants de leur donner le pouvoir sur un plateau d'argent d'une �R�publique � la solde de la France�, s'ils les d�barassaient du Front de Lib�ration de la C�te des Somalis (dite fran�aise) � FLCS - . Au m�me moment, Ali Aref Bourhan a, lui aussi, cr�� un parti � vocation ind�pendantiste, l'Union Nationale pour l'Ind�pendance (UNI). <br /> <br /> Peu avant l'ind�pendance, tout en touchant son salaire d'enqu�teur � la police des moeurs du r�gime colonial fran�ais, Guelleh pr�tendit �tre refoul� de son emploi et a int�gr� en 1975, la Ligue Populaire Africaine pour l'Ind�pendance � LPAI- afin de mieux espionner de l'int�rieur certains vrais ind�pendantistes qui se sont joints � ce parti en 1975, parce qu'ils ont cru, � tort, � la vocation ind�pendantiste de la LPA. Il est tr�s important de noter que les trois dirigeants de la LPAI avaient chacun un bras droit : Isma�l Omar Guelleh pour Gouled, Arbahim Ali Hamad pour Dini et Jean-Paul Abdi No�l pour Bahdon. Tandis qu'Ahmed Youssouf Houmed �tait le bras droit d'Ali Aref Bourhan. <br /> <br /> D�s la veille de l'ind�pendance, les responsables de la LPAI que Gouled, Dini, Bahdon et Guelleh dirigeaient avec leurs �mules Arbahim, Abdi No�l se sont accapar�s du pouvoir avec l'aide de la France. Ils �taient ivres de leur victoire facilement acquise et ils commenc�rent � se d�barrasser et � prendre leur distance du petit groupe des vrais combattants pour la libert� et l'ind�pendance qui �taient au sein de la LPAI et ont men� une chasse aux sorci�res contre les patriotes djiboutiens qui ont lib�r� le pays et qui se trouvaient, bien �videmment, au sein du FLCS et du MPL. Tous les patriotes ont �t� mis � l'�cart de la vie politique, sociale et �conomique du pays et ont �t� remplac�s par des �trangers ayant acquis, ill�galement, leur citoyennet� djiboutienne, comme c'est le cas de l'�thiopien, Robleh Olhayeh Oudine, Ambassadeur de Guelleh � l'O.N.U., aux �tats-Unis d'Am�rique et non r�sident au Canada, au m�me moment o� celui-ci �tait poursuivi au K�nya pour trafic de cornes d'�l�phants. <br /> <br /> Le nom du grand Martyr Mahmoud Harbi fut prohib� pendant tr�s longtemps et toute la famille Harbi fut humili�e et m�pris�e par Guelleh la terreur qui a aussi assassin� le fr�re de ce dernier, Ibrahim Harbi Farah, alors ministre... <br /> <br /> DE L'IND�PENDANCE EN JUIN 1977 � AUJOURD'HUI<br /> APRES L'IND�PENDANCE GUELLEH DEVIENT UN TORTIONNAIRE SADIQUE. <br /> <br /> Lorsqu'il �tait chef de la police parall�le -SDS- et chef de Cabinet de ��son oncle�� le pr�sident de la R�publique de Djibouti, Hassan Gouled, il participait et /ou supervisait les s�ances de tortures inflig�es aux partisans de la libert� et de la d�mocratie. Parmi les formes de tortures qu'il aimait pratiquer sur ses victimes, on peut mentionner les s�vices suivants: introduction de bouteilles de coca-cola dans le rectum de ses victimes, les viols, les d�charges �lectriques aux organes g�nitaux, le supplice de la noyade, l'eau de javel dans l'estomac, la balan�oire et les coups de bar de fer sous les pieds des victimes. Plusieurs centaines de personnes ont succomb� suite aux tortures et plusieurs milliers y conservent toujours de tr�s graves s�quelles psychologiques et physiques.<br /> <br /> Pendant que les victimes croupissaient dans les sinistres ge�les, Guelleh la terreur et ses sbires profitaient de leur absence pour abuser de leurs �pouses, soeurs, filles...<br /> <br /> GUELLEH EST L'ENNEMI DU MOUVEMENT SYNDICAL DJIBOUTIEN<br /> <br /> Guelleh la terreur a �crit sur son Agence d'Information (ADI) que le mouvement syndical � Djibouti a vu le jour � partir des ann�es 1980 ! Je trouve tout � fait normal qu'il pense ainsi et cela pour 2 raisons : La premi�re est que lorsque le mouvement syndical djiboutien faisait trembler le r�gime colonial dans les ann�es 1950, Guelleh �tait encore dans son pays natal l'�thiopie. Cependant lorsqu'il s'est install� d�finitivement � Djibouti, il �tait de son devoir d'apprendre l'Histoire du mouvement syndical et de la lib�ration nationale de Djibouti. La seconde est qu'en parlant de syndicalisme � Djibouti, il faisait �videmment r�f�rence au clonage des syndicats fantoches qu'il a cr��s � partir des ann�es 1980 afin de s'opposer aux vrais syndicats repr�sentatifs cr��s par les diff�rents corps de m�tiers � Djibouti. <br /> <br /> Quant � moi, je me souviens des nombreuses descentes polici�res dans notre maison pour arr�ter mon fr�re a�n� Mohamed, syndicaliste d�j� dans les ann�es 1950, que j'ai d'ailleurs visit� ( malgr� mon jeune �ge) � maintes reprises, avec mon p�re, � la prison dans des cellules truff�es de micros... Depuis les ann�es 1960 et jusqu'� l'ind�pendance, Mohamed Dahan �tait aussi Secr�taire g�n�ral du syndicat du FLCS. Il me semble aussi que le dictateur Guelleh a la m�moire tr�s courte pour qu'il ne se souvienne des coups de ma�tre que feu Mohamed Dahan lui a inflig�s avant son deuxi�me exil forc�, � la fin des ann�es 1980. Mais le peuple Djiboutien lui se souvient encore des manifestations que Dahan organisait et des banderoles qui �taient rest�es hiss�es par ses sympathisants � Djibouti-ville, plusieurs semaines apr�s son 2e exil forc�.<br /> <br /> Guelleh qui n'a cess� d'opprimer les vrais dirigeants syndicaux et qui a cr�� des syndicats fantoches � sa solde devrait savoir que le mouvement syndical � Djibouti a pris forme peu avant le d�but de la 2e guerre mondiale et a �t� l'un des plus structur�s d'Afrique. C'est pourquoi, le mouvement syndical djiboutien a �t� reconnu d�s les ann�es 1950 par l'OIT, l'ECOSOC, le FSM et plus tard par la CISL ainsi que par plusieurs organisations syndicales internationales, r�gionales et inter-r�gionales de par le monde. Les dirigeants syndicaux �taient re�us durant la lutte de lib�ration nationale par les plus grands dirigeants des pays dd la plan�te. Que sait Guelleh la terreur du r�le jou� par Mahmoud Harbi Farah, Abdillahi Ardeyeh Abaneh, Abdourahman Ahmed Hassan GABODE, Mohamed Dahan, Abdourahman Andol� et les autres dans la cr�ation et le d�veloppement du mouvement syndical � Djibouti ?<br /> <br /> Guelleh la terreur n'a cess� de mener une oppression sauvage contre les enseignants qui r�clament leurs salaires et qui exigent de meilleures conditions de travail afin d'assurer une meilleure �ducation � notre jeunesse, il a os� d�clarer � la t�l�vision djiboutienne que: " Les enseignants �taient tous des mercenaires "... Aujourd'hui encore, les vrais mouvements syndicaux lui tiennent t�te malgr� les retenues de salaire, les licenciements, les tortures, les menaces et les brimades de plusieurs dirigeants syndicaux des services de l'enseignement, du transport en commun, etc. La preuve est que malgr� la terreur qui s'abat contre les dirigeants syndicaux, ceux-ci ont r�ussi avec succ�s le mois dernier a organis� leur congr�s et ont vot� pour une direction d�mocratiquement �lue.<br /> <br /> GUELLEH VIOLE L'IMMUNIT� PARLEMENTAIRE DE PLUSIEURS MEMBRES DE L'ASSEMBL�E �NATIONALE� MAIS N'A JAMAIS VIOL� CELLE DU D�PUT� JEAN-PAUL ABDI NO�L MALGR� TOUTES LES FRASQUES DE CE DERNIER !<br /> <br /> Depuis les ann�es 1970 et alors qu'il �tait encore Chef du SDS et chef de Cabinet de ��son oncle��, le Pr�sident Hassan Gouled, le tyran Guelleh a toujours viol� l'immunit� parlementaire des membres de l'Assembl�e �Nationale� de Djibouti. Plusieurs d'entre eux ont �t� tortur�s ou interpel�s dans les ann�es 1970 � 1980 et des dizaines demeur�rent en r�sidence surveill�e dans les ann�es 1990. Et l�, je parle �videmment des parlementaires qui ont tenu t�te au tyran Guelleh comme ce fut le cas de feu Mohamed Djama Elab�, incorruptible ministre et aussi MM. Souleiman Farah Lodon et Mohamed Adabo Kako qui ont eu le courage de d�missionner non seulement de leur poste de parlementaire mais aussi de leur poste minist�riel afin de d�noncer l'arbitraire et l'injustice du r�gime de Guelleh Batal contre la composante Afare de notre Nation. <br /> <br /> Aujourd'hui, Guelleh essaie de nous faire croire qu'il a r�tabli les droits des parlementaires mais en r�alit�, il ne fait que ramener dans les rangs seulement ses anciens amis parlementaires qui ont partag� et appuy� ses crimes et qui ont toujours accept� de faire partie de sa chaise musicale. Par contre, il continue de malmener les d�put�s et tout r�cemment, il a donn� ordre � ses gardes du corps de battre certains d�put�s parce qu'ils ont tout simplement os� dire que si Guelleh voulait briguer un 3�me mandat, ce qui est contraire � la Constitution, celui-ci devrait, au pr�alable, discuter de cela, devant l'Assembl�e dite Nationale... <br /> <br /> GUELLEH ASSASSINE SES OPPOSANTS POLITIQUES DJIBOUTIENS ET A RECOURS AU TERRORISME D'�TAT � CHAQUE FOIS QU'IL EST EN DIFFICULT�<br /> <br /> Plusieurs opposants djiboutiens ont �t� assassin�s d'une fa�on ou d'une autre par les hommes de main de Guelleh. Parmi ses victimes djiboutiennes figurent Janaleh, un des h�ros de l'ind�pendance de Djibouti, Dr. Saleh Nour, ainsi qu' Ibrahim Harbi, Cheikho, Elabe, mon fr�re a�n� Mohamed Dahan pourtant en exil et tant d'autres.. <br /> <br /> Quant aux �trangers assassin�s, il y a plusieurs �thiopiens d'origine Oromos et tigr�s, des Fran�ais comme le petit Olivier Nervet (6 ans) et des centaines d'autres Somaliens et �rythr�ens...<br /> <br /> GUELLEH EST AUSSI UN TRAFIQUANT DE DROGUES, D'ORGANES HUMAINS, IL EST IMPLIQU� AUSSI DANS LA CONTREFA�ON DE DOLLARS AM�RICAINS<br /> <br /> Depuis les ann�es 1980, Guelleh faisait le trafic de drogues entre Djibouti-Paris-New-York-Bruxelles. <br /> <br /> D�s le d�but de ce nouveau mill�naire, il a �t� impliqu� dans le trafic d'organes d'enfants �trangers et djiboutiens disparus et plus particuli�rement ceux de Balbala, (banlieue de Djibouti-ville). Il a �t� impliqu� plus d'une fois dans des scandales de contrefa�on de dollars am�ricains depuis les ann�es 1980. Un de ses collaborateurs dans cette contrefa�on, n'est nul autre que le fils a�n� de Me Wabat Daoud, Avocat et ex-B�tonnier de l'ordre des avocats. En 2000, alors que j'�tais � Djibouti, j'ai appris que le fils de WABAT �tait inculp� mais l'affaire de contrefa�on de dollars am�ricains avait �t� �touff�e malgr� la pr�sence � Djibouti des agents de renseignements �tatsuniens. � l'�poque, Me WABAT apportait diff�rentes sortes de mets au domicile de Rifki Abdoulkader Bamakhrama, Ministre du Commerce de Guelleh. Il restait avec le ministre jusqu� tard dans la nuit afin que celui-ci prie son bienfaiteur Guelleh de sortir son fils du gu�pier dans lequel il l'a embarqu�... <br /> <br /> GUELLEH EST UN D�LINQUANT QUI S'EST FAIT CONSTRUIRE UN PALAIS A HARAMOUS (DJIBOUTI) AVEC LES DENIERS PUBLICS ET MALGR� CELA, IL SE FAIT PAYER UN LOYER MENSUEL POUR LE DIT PALAIS<br /> <br /> Abusant de ses pouvoirs, il s'est permis de prendre par la force et de se marier avec l'�pouse de son rival politique Me Abdallah Mohamed Kamil, ex-Premier Ministre, ex-Ministre de la D�fense et ex-Ministre des Affaires �trang�res et de la Coop�ration internationale, chose qu'aucune religion n'admet : ni le juda�sme, ni le christianisme, ni l'islam, ni aucune autre religion. Les mauvaises langues de l'entourage de feu Ahmed Dini pr�tendent qu'� pr�sent, Me Kamil est satisfait de son sort parce que Guelleh a cas� ses enfants (dont la m�re est Khadra) � des postes strat�giques et qu'actuellement, il chercherait d�sesp�r�ment � servir Guelleh, le "kidnappeur" de son ex-�pouse. <br /> <br /> Apr�s son accession � la magistrature supr�me de Djibouti, Guelleh s'est fait construire un palais � Haramous (Djibouti), une route pour acc�der � ce palais isol� ainsi qu'un quai pour pouvoir s'�chapper en cas d'un soul�vement populaire.<br /> <br /> Malgr� que ledit palais a �t� construit � partir des deniers publics, Guelleh se fait payer par la Tr�sorerie du gouvernement de Djibouti un loyer mensuel de 1 million de francs djiboutiens ( 177 FD = 1 $ am�ricain ) qu'il r�cup�re au nom de son �pouse, Mme Khadra Mahamoud Haid... Aussi paradoxal que cela puisse para�tre, les �tats-Unis d'Am�rique sont entrain de construire � Haramous, pr�s du palais de Guelleh une tr�s grande ambassade et un centre d'�coute pour la r�gion ...<br /> <br /> GUELLEH A MIS DANS LA POUBELLE TOUS LES PSEUDO ACCORDS DE PAIX SIGN�S AVEC LE FRUD<br /> <br /> En outre, avec sa politique oppressive, Isma�l Omar Guelleh est responsable de l'�clatement de la guerre fratricide qui s�vit dans notre pays, depuis 1991. Celui-ci a m�me utilis� l'arme chimique contre la population civile Afare du Nord de notre pays. En effet, apr�s chacune des d�faites de l'arm�e r�guli�re face au FRUD, (entre 1991 et 1993) avant de se retirer, celle-ci pla�ait des produits chimiques dans les puits, les citernes d'eau et dans les d�p�ts alimentaires.<br /> <br /> Des rapports de parlementaires europ�ens et de plusieurs organisations non-gouvernementales - ONG - (les vraies ONG et non pas celles qui ont �t� cr��es par le service de renseignements des �.U.A. et ses valets, apr�s la victoire des v�ritables ONG � la Conf�rence de Durban, en septembre 2001) ont d�nonc� les exactions � l'encontre du Peuple djiboutien en g�n�ral et le g�nocide de la population Afare du Nord et du Sud-Ouest, en particulier. Dans les dits rapports, on mentionne les viols, la torture, l'expropriation des maisons et des terres des Afars par les soldats djiboutiens et par les mercenaires venus de la Somalie, de l'�thiopie et d'ailleurs, enr�l�s par Guelleh apr�s le cessez-le-feu que la France avait impos� au FRUD, le 28 F�vrier 1992, pour massacrer nos concitoyens. <br /> <br /> Le Peuple Djiboutien est martyris� et la r�pression continue encore pire qu'avant la signature du pseudo Accord de paix du 12 mai 2001, au Nord et au Sud-ouest du pays : blocus sanitaire du Nord, les quartiers de Djibouti-ville sont sous l'interdiction de tout rassemblement, les syndicalistes, les professeurs, les �tudiants, les journalistes et les membres de l'opposition subissent des proc�s iniques et ce, malgr� les d�clarations mensong�res d'I.O. Guelleh qui pr�tend vouloir la paix et la d�mocratie.<br /> <br /> Guelleh est le seul responsable des arrestations arbitraires, des interrogatoires dans des cellules d'isolement et il a particip� personnellement aux s�ances de torture les plus effroyables contre les opposants : frapper les d�tenus avec des barres de fer sur les c�tes, des coups de b�ton aux pieds, couverture imbib�e d'eau de javel sur la bouche, s�vices sexuels en introduisant des objets m�talliques et des bouteilles dans l'ur�tre et l'anus, infiltration d'aiguilles de fer allum�es dans le sexe, �lectrochoc sur les endroits sensibles du corps, sans oublier les ex�cutions sommaires et les viols de femmes, de petites fillettes et d'autres punitions collectives contre les populations d'Arhiba, de Balbala et ailleurs dans le pays. Guelleh incarne � la fois la l�chet�, la m�chancet� et le cynisme de ses ma�tres W. Bush et aujourd'hui Barrack Hussein Obama, (�lu par les �vang�listes et les<br /> multinationales �tatsuniennes), Sark�zy De Nagy Bosca (qui a transform� la France en un protectorat �tatsunien et isra�lien) et le n�ofasciste Berlusconi... <br /> <br /> Guelleh est aussi impliqu� dans le scandale des vols secrets, ill�gaux de la CIA qui kidnappe plusieurs personnes innocentes partout dans le monde et les transf�re dans des pays dictatoriaux, comme Djibouti, � la solde des �.U.A.. Parmi celles-l�, plusieurs ont �t� tortur�es � Djibouti, sous le portrait officiel de Guelleh la terreur. (Lire le Rapport accablant du Haut-Commissariat des Droits de l'Homme des Nations-Unies.<br /> <br /> LE CHAROGNARD GUELLEH NE POURRA JAMAIS SE TRANSFORMER EN AGNEAU...<br /> <br /> En 1989 lorsque j'ai �t� �loign� du pays � cause de mes prises de position, sous pr�texte d'�tre nomm� au poste de diplomate aux E.U.A., quelques pseudo-r�volutionnaires et tribalistes disaient dans un lieu de rencontre � Djibouti appel� "MABRAZ" "...maintenant que Dahan est nomm� Diplomate aux E.U.A. il se taira et ne <br /> d�fendra plus les opprim�s du r�gime de Guelleh..." Dans cet endroit, il y avait la pr�sence <br /> d'un sage compatriote nomm� Ahmed Amman, originaire d'Obock qui s'est lev� pour leur <br /> r�pondre (en mon absence) " ... Messieurs, vous dites des conneries, Dahan est un lion et un lion ne se transformera jamais en singe... Vous verrez, Dahan d�fendra toujours les droits des sans voix..."<br /> <br /> En avril 1990, lorsque Moumin Bahdon Farah, MA�CI �tait en visite � Washington, je lui avais dit que son gouvernement et plus particuli�rement le Chef de la s�curit� de l'�poque Isma�l Omar Guelleh �taient entrain de pers�cuter notre peuple, de plus le pantin �tranger de ce dernier, l'ambassadeur Olhay� est entrain de ternir la r�putation de notre pays en agissant de fa�on ill�gale dans ce pays h�te. Bahdon me r�pondit : "Oublie la d�fense des droits de l'homme car tu as tout ce qu'il te faut ici, y compris, l'�ducation pour tes enfants dans les meilleures �coles priv�es et laisse cet imb�cile d'Olhay� faire ce qu'il veut...". Je lui ai r�pondu, vous verrez comment je vais r�agir � vos manigances... Et il me r�torqua : "Tu ne peux rien faire avec la situation que tu as et de toute fa�on, tu es � l'�tranger." Cependant, lorsqu'il a vu, un mois apr�s, ma d�mission sur la d�p�che du t�l�scripteur de l'agence de presse qui se trouve dans son minist�re, il a regrett� son arrogance...<br /> <br /> En avril 2000, lorsque je suis retourn� a Djibouti apr�s 10 ans d'exil, des t�moins (dont 2 avocats et un juge) m'ont dit que le tyran Guelleh ne pourra jamais me pardonner parce qu'apr�s ma d�mission en 1990, il a perdu pendant quelques ann�es plusieurs dizaines de millions de dollars qu'il recevait en forme d'aide de la part de ses bailleurs de fonds.<br /> <br /> Tout cela nous m�ne � conclure qu'un homme ne peut du jour au lendemain changer de cap. Guelleh qui durant presqu'un demi-si�cle a viol� les libert�s fondamentales de notre peuple et qui a mis le pays � feu et � sang depuis les ann�es 1970, a �t� durant tout ce temps un charognard et une sangsue par cons�quent, il ne peut du jour au lendemain se transformer en agneau... Le fait d'avoir plac� dans son gouvernement quelques prostitu�s politiques qui pr�tendent �tre aujourd'hui des dirigeants des pseudo-partis politiques alors qu'ils ont d�j� servi dans son gouvernement dictatorial comme ministres et tr�s hauts grad�s de l'arm�e et les quelques dirigeants des 3 diff�rentes factions du FRUD qui se sont transform�s plut�t comme des bandits, agissant pour leurs int�r�ts mesquins et qui se sont toujours foutus �perdument des int�r�ts supr�mes du peuple djiboutien, ne changera en riant de sa politique oppressive... Ce cirque ne veut pas dire que Guelleh la terreur a chang� de cap puisqu'aujourd'hui encore, il continue ses pers�cutions contre notre Nation djiboutienne en g�n�ral et les minorit�s ethniques en particulier.<br /> <br /> D�s son ascension, �de jure� , � la magistrature supr�me de Djibouti, en 1999, Guelleh a intensifi� ses manoeuvres d�stabilisatrices des pays voisins de la r�gion pour le compte de ses bailleurs de fonds. Les parents djiboutiens et fran�ais des nombreuses victimes des attentats horribles comme ceux : de Loyada et du Bar Le Palmier en Zinc, du Bar l'Historil, se souviennent encore du r�le jou� par Guelleh dans l'orchestration desdits attentats ainsi que de celui du Caf� de Paris � Djibouti en 1990 o� le tyran fit torturer arbitrairement des centaines de nos compatriotes Gadaboursis. Malgr� sa duplicit� machiav�lique dans les relations internationales, on peut dire sans se tromper que le terroriste Guelleh incarne � la fois la l�chet� et la m�chancet� r�unies de de ses ma�tres Georges W. Bush et P�l Sark�zy de Naguy-Bosca...<br /> <br /> FRUD D'ALI MOHAMED DAOUD, DIT JEAN-MARIE VERSUS L'ARD DE LA FAMILLE D'HAMED DINI AHMED � LES DIRIGEANTS AFARS DES 3 FACTIONS DU FRONT POUR LA RESTAURATION DE L'UNIT� ET DE LA D�MOCRATIE (FRUD) QUI ONT MEN� � L'�CHAFAUD DU TYRAN GUELLH CEUX QUI ONT CRU EN EUX EN 1991, SONT ENTRAIN AUJOURD'HUI DE SE BATTRE POUR MIEUX POUVOIR S'APPROCHER ET SERVIR LEDIT TYRAN LORSQUE CELUI-CI R�GNERA ILL�GALEMENT SUR DJIBOUTI POUR UN 3E MANDAT, EN 2011.<br /> <br /> ��Si la justice dispara�t, c'est chose sans valeur que le fait que hommes vivent sur terre�� Emmanuel Kant<br /> <br /> Les dirigeants Afars de la 1e et de la 2e faction du FRUD d'Ali Mohamed Daoud, dit Jean-Marie, Pr�sident du FRUD, Ougoureh Kifleh Hamad, Ali Guellh, Aboubaker, Isma�l Ibrahim Houmed, Mohamed Adoyta Youssouf (cousin germain de Mohamed Kadamy Youssouf) ont choisi depuis belle lurette de trahir notre Peuple et de se prostituer aupr�s de leur ma�tre Guelleh. Ceux-ci ont cr�� un parti et ils ont coll� � celui-ci le nom de FRUD. Il font actuellement partie de la coalition gouvernementale de Guelleh, appel�e UMP et n'ont cess� de participer � tous ses crimes.<br /> <br /> Quant � la 3e faction du FRUD dirig�e par Ahmed Dini qui a �t� la principale cause de la chute vertigineuse du FRUD. Il s'est soumis au diktat de Guelleh en f�vrier 2000, puis en mai 2001 et � son tour, il aurait voulu transformer le FRUD ��arm頻 en parti politique, appel� aussi FRUD. Mais devant la menace des dirigeants Afars des deux premi�res factions de le traduire en justice et suite � la recommandation de son ami, de longue date, le tyran Guelleh, Dini s'est r�sign� et a nomm� son nouveau parti Alliance R�publicaine pour le D�veloppement (ARD). <br /> <br /> � Djibouti, tout le monde sait que le parti ARD est compos� de la famille de Dini, ses proches parents et certains membres de sa tribu. Ahmed Youssouf Houmed, pr�sident de l'ARD est un ex-ministre du port et ex-bras droit d'Ali Aref Bourhan, Vice-pr�sident du Conseil du gouvernement de l'�poque de la colonisation de notre pays et surtout au sein de l'ex-parti d'Aref, l' Union Nationale pour l'Ind�pendance (UNI), cr�� � la veille de l'ind�pendance. Cependant le vrai pouvoir du parti ARD est concentr� entre les mains de la famille de Dini: son neveu Kassim Ali Dini est Secr�taire g�n�ral de l'ARD, ex-employ� de la Chambre de commerce de Djibouti tandis que son fils Cassim Ahmed Dini, est D�l�gu� pl�nipotentiaire de l'ARD, ex-fontionnaire du MA�CI. Ces deux petits �nergum�nes ont �t� des drogu�s inv�t�r�s dans les ann�es 1980.<br /> <br /> Une des rares exceptions � la r�gle de l'ARD est la pr�sence d'un certain Mahdi Ibrahim A. God, Vice-pr�sident de l'ARD (fils d'un officier de la police coloniale). La pr�sence de Mahdi qui est issu de l'une des minorit�s ethniques djiboutiennes, n'est qu'une �dulcoration pour essayer de duper une fois de plus, l'opinion publique alors que celui-ci n'a aucun pouvoir. Le vendredi apr�s-midi, 14 avril 2000, alors que j'�tais � Djibouti, Mahdi m'a invit� chez lui et apr�s avoir ��brout� le Khat��, il m'a avou� qu'il avait �t� embauch� au �� FRUD�� par Dini et que ce dernier l'avait nomm� porte-parole du FUOD, moyennant un salaire ! Ce dernier avait � l'�poque un coll�gue qui semblait plut�t int�gre, lui aussi, issu d'une des minorit�s ethniques et portait le surnom de Mouloud... <br /> <br /> La course contre la montre entre le FRUD de Jean-Marie et l'ARD de la famille de Dini a commenc� en ce mois de f�vrier 2010. Ils sont entrain de se talonner ! Tandis que le FRUD de Jean-Marie a tenu ses assises le 10 et le 11 f�vrier 2010, Kassim Ali Dini, Secr�taire g�n�ral de l'ARD a �mis le 10 f�vrier 2010 un Communiqu� dans lequel, il annonce les assises de son parti ARD pour le 25 et 26 du mois courant !<br /> <br /> Il est � noter que certains membres de la direction de l'ARD, au nom de la solidarit� tribale, qui est bien cher au tyran Guelleh et � ses disciples, veulent appuyer le FRUD de Jean-Marie si celui-ci d�cide de les accepter dans ses rangs. Pour ma part, je crois que si certains tra�tres du groupe du FRUD de Jean-Marie et/ou de l'ARD de Dini veulent se racheter pour tous les crimes qu'ils ont commis contre notre Nation en g�n�ral et sa composante Afare en particulier, tant mieux ! Cependant, une quelconque repentance tardive de la part des dits tra�tres ne signifient pas que les patriotes djiboutiens devraient oublier leurs crimes contre la Nation djiboutienne depuis leurs association avec le dit tyran et encore moins de laisser participer ces tra�tres sous quelque forme que ce soit � un gouvernement r�ellement libre et d�mocratique issu par et pour le Peuple Djiboutien, sans l'intervention des mercenaires et des n�ocolonialistes.<br /> <br /> Alors que le parti FRUD de Jean-Marie fait partie de la coalition de Guelleh et est son complice depuis fort longtemps, � pr�sent l'ARD de la famille de Dini essaie de succ�der au FRUD pour qu'� son tour, il puisse faire partie du prochain gouvernement dudit tyran, en 2011. Pour ce faire, la direction de l'ARD est entrain de se prostituer avec les repr�sentants des gouvernements am�ricains et fran�ais afin qu'ils l'aident � convaincre leur marionnette Guelleh pour qu'il accepte de l'int�grer dans son prochain gouvernement. <br /> <br /> II- MISE EN DEMEURE AUX DEUX N�OCOLONIALISTES FRAN�AIS JEAN-LOUP SCHAAL ET ROGER PICON-<br /> <br /> VOUS AVEZ AJOUT� � VOTRE LISTE DE PAIE UN NOUVEAU MA�TRE L'US AFRICOM (Document No - 1) QUI DIRIGE LE SITE MAGHR�BIA... ALORS QUE VOUS PERCEVEZ D�J� DEUX SALAIRES DE LA PART DU TYRAN DE DJIBOUTI ISMA�L OMAR GUELLEH ET DE LA DGSE DE VOTRE PAYS, LA FRANCE - <br /> Au nom des partisans de la Paix dans la Justice pour tous les Djiboutiens (PPJD), j'exhorte toutes les ONG pour la d�fense des droits humains, non inf�od�es � l'empire du mal et � ses valets de d�noncer les agissements de ces deux n�ocolonialistes fran�ais et de ne pas reconna�tre l'imposture que l'on appelle � tort l'ARDHD (et leur Gouvernement en Exil de Djibouti, dont Roger Picon est le Secr�taire g�n�ral) alors que cette association est dirig�e par le Sous-Officier de l'arm�e fran�aise Jean-Loup Schaal et l'Officier de Renseignements Roger Picon, deux Fran�ais, agents doubles et de surcro�t p�dophiles qui ont abus� de petites filles et petits gar�ons djiboutiens lors de leur s�jour � Djibouti dans les ann�es 1980, alors qu'ils faisaient partie du fameux R�seau Fran�ais de P�dophilie � Djibouti,. <br /> <br /> Plusieurs des p�dophiles fran�ais � Djibouti, comme Schaal et Pticon ont �t� tout simplement retourn�s chez eux, en France sans �tre arr�t�s et jug�s. Par contre, c'est seulement en 2008 que le parquet de Djibouti a �mis quelques mandats contre � peine une dizaine de fran�ais qui �taient pourtant � l'�poque les prot�g�s du tyran Guelleh en personne. Comme ce fut le cas des hauts- officiers de l'arm�e fran�aise, certains diplomates fran�ais, des hauts-cadres de la coop�ration fran�aise dont Patrick Millon qui �tait responsable du Service de la Presse, de l'Information et de la Documentation � la Pr�sidence de Djibouti, sous la direction du tyran Guelleh. Les Djiboutiens et certains fran�ais savent que Patrick MILLON faisait parfois, tard dans la nuit, de petites visites et d�rangeait ainsi les gardes de la Pr�sidence et qu'il allait aussi tard dans la nuit dans la chambre � coucher de Guelleh la terreur ! <br /> <br /> Une fois de plus, vous avez d�montr� que vous n'�tes que des mercenaires qui se vendent au plus offrant. Vous avez publi� le 5 novembre 2009, sur votre site internet, un article qui d�nigre le Peuple fr�re de la Somalie et qui incite � la haine contre l'islam et les musulmans et vous percevez des honoraires de la part du responsable militaire de l'US AFRICOM qui dirige le site MAGHR�BIA ! Le titre m�me de cet article est r�v�lateur : L'instabilit� en Somalie inqui�te ses voisins du Maghreb ! (1) Depuis quand les pays du Maghreb sont-ils voisins de la Somalie ? C'est plut�t, les pays de la R�gion du Bassin de la Mer Rouge qui sont voisins de la Somalie et qui sont � feu et � sang depuis la pr�sence des bases militaires �tatsuniennes et celles de ses valets � Djibouti. Le plus path�tique dans vos comportements, c'est votre d�marche stupide apr�s ma d�nonciation de votre acte m�prisable, vous avez retir� jeudi soir, le 12 novembre 2009, de votre site internet cet article en question de l'US AFRICOM, du 5 novembre 2009 pour le remplacer par un de vos anciens articles de 2002 que vous aviez �crit contre moi apr�s que j'eus d�masqu� votre r�le au sein du pseudo Gouvernement de Djibouti en Exil...<br /> <br /> Tout ceci d�montre � quel point vous �tes d�sesp�r�s, en plus du fait que vous �tes, d�j� depuis fort longtemps, des menteurs qui ne reculent devant rien ! Vous savez, vos manoeuvres d�sesp�r�es ne m'�tonnent gu�re puisque les Djiboutiens, plusieurs africains et m�me des fran�ais savent qui vous �tes...<br /> <br /> Dans les ann�es 1980, � Djibouti, le sous-officier de l'arm�e fran�aise Jean-Loup Schaal �tait vendeur de vieux ordinateurs et Roger Picon �tait Officier de renseignements du DATALAT, au sein des Forces Fran�aises Stationn�es � Djibouti (FFDJ). <br /> <br /> Voici vos cheminements que vous croyez pouvoir cacher � l'opinion publique de la France et de l'�tranger car les Djiboutiens sont d�j� au courant de vos comportements depuis belle lurette�<br /> <br /> Messieurs les p�dophiles et agents doubles,<br /> <br /> JEAN-LOUP SCHAAL ET ROGER PTICON, VOUS AVEZ DE LA RANCOEUR ENVERS LES DJIBOUTIENS PARCE QUE LE DICTATEUR GOULED (ALORS PR�SIDENT DE DJIBOUTI) ET VOTRE AMI ET MA�TRE, LE TYRAN GUELLEH, (ALORS CHEF DE LA S�CURIT�- SDS - ET CHEF DE CABINET DE ��SON ONCLE�� LE PR�SIDENT GOULED) ONT �T� OBLIG�S DE VOUS EXPULSER VERS VOTRE PAYS D'ORIGINE, LA FRANCE, POUR DES RAISONS BIEN CONNUES PAR LES DJIBOUTIENS : ESCROQUERIE ET SURTOUT P�DOPHILIE ET CE, SOUS LA PRESSION DES OKALS (RESPONSABLES COUTUMIERS), DES PARENTS DE VOS VICTIMES, C'EST-�-DIRE, LES ENFANTS DONT VOUS AVEZ TRANSMIS MTS ET SIDA ET DONT PLUSIEURS ONT SUCCOMB� APR�S AVOIR TROP SOUFFERT. <br /> <br /> Les Djiboutiens, plusieurs fran�ais et certaines ONG africaines sont au courant que vous avez commis des crimes abominables contre les Djiboutiens lors de votre s�jour � Djibouti dans les ann�es 1980. Il est donc grand temps que les autres partisans de la paix dans la justice pour tous de par le monde sachent aussi qui vous �tes en r�alit� : deux n�ocolonialistes qui n'admettent ni l'ind�pendance, ni la souverainet� des pays africains, arabes et asiatiques... <br /> <br /> JE VOUS D�FIE DE R�PONDRE� CES DEUX SIMPLES PETITES QUESTIONS : <br /> <br /> Le Vieux Loup et le Pticon, chacun de vous deux est dans la soixantaine... <br /> Je me demande par cons�quent o� �tiez-vous avant l�ind�pendance lorsque notre peuple djiboutien souffrait sous le joug du colonialisme fran�ais et depuis 1977 o� la dictature sanguinaire de Guelleh � Djibouti martyrisait notre peuple�? <br /> �tiez-vous en train de casser des Africains et des Arabes quelque part dans les pays en d�veloppement ou bien �tiez-vous cach�s pendant tout ce temps sous les jupes de vos m�res ? �comme plusieurs Djiboutiens vous l�ont d�j� dit dans le pass�. <br /> Et pourquoi, n'avez-vous pas d�nonc� les exactions du tyran Guelleh lors de votre s�jour � Djibouti dans les ann�es 1980 ? <br /> Est-ce que Guelleh la terreur �tait votre complice lorsque vous violez les petites filles et les petits gar�ons mineurs djiboutiens ? <br /> <br /> QUI EST JEAN-LOUP SCHAAL? �TAIT-IL UNIQUEMENT LE TORTIONNAIRE DES TCHADIENS ?<br /> <br /> En effet, Schaal, vous avez s�journ� � Djibouti d�s 1980 jusqu'� 1988, sous pr�texte d'�tre vendeur d'ordinateurs usag�s, mais en r�alit�, vous �tiez agent double, � la solde de Guelleh la terreur et de votre pays, la France. Parall�lement, le soir, vous vadrouilliez dans les quartiers pauvres de Djibouti-ville (avec Roger Pticon et certains fran�ais du R�seau de P�dophilie Fran�ais � Djibouti).. Vous embarquiez souvent des petits enfants pauvres qui dormaient dans les rues puis vous les violiez. Votre d�pravation ne s'est pas arr�t�e l�, puisque par apr�s, vous avez commenc� � r�der pr�s des �coles primaires et secondaires pour embarquer des petites filles mineures que vous violiez. Devant le toll� des parents de ces petites filles mineures et des petits gar�ons mineurs viol�s et suite � des pressions de la part des Okals djiboutiens, Gouled et son neveu Guelleh ont �t� oblig�s de mettre le p�dophile et escroc que vous �tes dans un avion et de vous refouler vers votre pays, la France et ce, malgr� que vous �tiez un espion de Guelleh...<br /> <br /> Deux ans apr�s votre retour en France, c'est-�-dire en 1990, pour prendre votre revanche contre les Djiboutiens qui ont �t� la cause des humiliations que vous avez subies et de votre renvoi de Djibouti, vous �tes entr� en communication avec Guelleh et avec les services de renseignements fran�ais pour leur proposer de redevenir � nouveau leur espion, pour pouvoir contr�ler de pr�s les activit�s des vrais r�fugi�s djiboutiens qui se trouvent en Occident, plus particuli�rement, en Europe. Vous avez donc cr�� un parti politique fran�ais que vous avez baptis� en pseudo association pour le respect des droits de l'homme � Djibouti (ARDHD). Quelques ann�es apr�s la cr�ation de ce nid d'espionnage, vous avez cr�� d'une fa�on myst�rieuse un site internet pour pouvoir compl�ter votre mission d'espionnage et pour �dulcorer l'ARDHD, vous avez introduit � vos c�t�s une de vos associ�s dans votre soci�t� TITANE... <br /> <br /> Devant l'�chec lamentable que vous avez subi parce que les Djiboutiens n'ont pas �t� dupes et ont compris vos manoeuvres, le tyran Guelleh et les services de renseignements fran�ais vous ont alors amen�, en 2000, un associ�, un espion professionnel du nom de Roger Pticon afin de mieux manoeuvrer les Djiboutiens. <br /> <br /> Par la suite, vous avez cr�� une kyrielle d'organisations fantoches pour faire face aux v�ritables opposants djiboutiens et vous n'avez m�me pas h�sit� � cr�er un Gouvernement de Djibouti en Exil parce que vous vouliez perp�tuer le travail non accompli de vos ma�tres spirituels les mercenaires Bob Denard et le tortionnaire Paul Aussaresses... <br /> <br /> QUI EST L'ESPION FRAN�AIS ROGER PTICON ?<br /> <br /> Roger Pticon, selon vos propres aveux, vous �tes un pied-noir, n� au Maroc et vous avez travaill� comme espion dans plusieurs pays de l'Afrique du Nord, de l'Ouest et de l'Est. � Djibouti, vous �tiez de 1986 jusqu'� 1989, Officier de renseignements au DATALAT, au sein des Forces Fran�aises Stationn�es � Djibouti (FFDJ). Pour mieux p�n�trer dans le cercle des Djiboutiens, vous �voquez votre enfance au Maroc et vous dites que votre p�re lisait couramment le Coran. Lorsque vous �tiez � Djibouti, vous voyagiez aussi dans les pays de la r�gion pour des missions d'espionnage. Durant votre s�jour � Djibouti, vous avez donc fait plusieurs voyages en �thiopie, au Y�men, en �rythr�e, en Somalie, au Soudan et au Kenya. <br /> <br /> Lors de votre s�jour � Djibouti, vous �tiez parall�lement l'espion de Guelleh et vous aviez plus particuli�rement, la mission d'infiltrer le PRD � un parti d'opposition djiboutien (actuel MRD) en vous nouant d'amiti� avec feu Mohamed Djama Elabe. Vous pr�tendez m�me avoir �t� membre du PRD, parti politique djiboutien, pendant quelques ann�es, � l'�poque o� feu Elabe, fondateur du dit parti, �tait aussi le pr�sident alors que vous �tiez officier de renseignements au DATALAT des FFSD !<br /> <br /> Mais comme tout p�dophile, vous et votre ami Schaal, vous aviez un faible pour ce que vous appel� vulgairement, la ��chair tendre�� des petites filles et des petits gar�ons djiboutiens que vous violiez � bout de bras. C'est ainsi que vous aussi, avez �t� oblig�, en 1989, de quitter le territoire djiboutien en catimini, avant la fin officielle de votre mandat. On n'a jamais plus entendu parler de vous et puis subitement, en 2000, on vous a vu aux c�t�s de Schaal. En effet, votre exp�rience d'espion aux FFDJ a port� fruit � court terme pour vos employeurs, c'est-�-dire les autorit�s de renseignements djiboutiennnes de Guelleh et celles de votre pays, la France.<br /> <br /> Aussit�t votre venue � l'ARDHD, vous avez tiss� votre toile d'araign�e et vous avez commenc� alors par cr�er un soi-disant Gouvernement de Djibouti en Exil (GED), o� vous �tes devenu le Secr�taire g�n�ral ! Lorsque deux Fran�ais cr�ent un parti politique et un Gouvernement de Djibouti en Exil..., cela porte un nom : MERCENAIRE et nous rappelle � la fois les crimes commis par le mercenaire Bob Denard et le tortionnaire Paul Aussaresses, en Afrique. Puis, vous et Schaal avez cr�� une kyrielle de pseudos partis politiques � votre solde et pour ce faire vous avez enr�l� comme mercenaires quelques enfants des anciens HARKIS djiboutiens, qui lors de la colonisation de notre pays par le joug colonial fran�ais, �taient � la t�te de l'administration locale. Aujourd'hui encore, certains parmi eux se trouvent toujours dans le gouvernement ill�gitime de Guelleh et continuent de servir avec z�le les puissances n�ocolonialistes et imp�rialistes qui ont des bases militaires � Djibouti.<br /> <br /> Lorsque j'ai d�nonc� vos crimes et d�masqu� vos vrais visages et ceux de votre associ� Schaal, la plupart des vrais r�fugi�s djiboutiens en Europe et en Am�rique du Nord ont compris le stratag�me des deux p�dophiles et agents double fran�ais que vous �tes et vous ont aussit�t quitt�s, mis � part, une poign�e de personnes, tous des Harkis et ceux de certaines familles des anciens HARKIS djiboutiens, dont le nombre ne d�passe gu�re les doigts d'une main. Ne pouvant avoir de Djiboutiens pour contribuer � votre site internet, vous vous �tes mis � �crire vous-m�mes plusieurs articles diffamatoires sur tout ce qui bouge � Djibouti et contre tous les vrais opposants et vrais d�fenseurs des droits humains � Djibouti et � l'�tranger et vous avez commenc� � publier des caricatures racistes et d�gradantes et tels des cam�l�ons, vous inventez diff�rents noms (Bouh Warsama, Khadija, Africaman, Angel Free etc.) pour signer vos articles et pr�tendre qu'ils ont �t� �crits par des Djiboutiens. Parall�lement � tout cela, vous avez cr�� des sites internet pour les partis politiques des dits enfants des HARKIS djiboutiens, qui sont vos marionnettes. Le site internet de l'ARDHD a pour but de conna�tre les activit�s des vrais patriotes djiboutiens qui luttent contre le dictateur Guelleh et votre objectif est d'�clipser les sites internet et les activit�s des vrais partis politiques et d�fenseurs des droits humains djiboutiens.<br /> <br /> VOICI CE QUE VOUS AVEZ EN COMMUN, JEAN-LOUP SCHAAL ET ROGER PTICON...<br /> Tous deux, vous �tes des enfants de collabos des nazis et vous �tiez des ANTIS�MITES avant la prise de pouvoir en France par Nicol�s Sark�zy de Nagy -Bocsa ;<br /> Tous deux, vous �tes des sans foi ni loi, des menteurs pathologiques qui ne reculent devant rien pour assouvir vos �gos bestiaux, tout comme votre ma�tre Isma�l Omar Guelleh ;<br /> Tous deux, depuis que vous �tiez � Djibouti, dans les ann�es 1980, vous �tiez des p�dophiles et des agents double pour votre pays la France et le tyran de Djibouti, Guelleh ;<br /> Tous deux, vous �tes des ennemis jur�s des populations djiboutiennes et celles de l'Afrique en g�n�ral et vous d�testez plus particuli�rement, le gouvernement du Congr�s National Africain CNA- (AFRICAN NATIONAL CONGRESS -ANC) du grand patriote Nelson Mandela et ce, parce que vous croyez encore � la �l�gitimit� du r�gime d�chu de l'apartheid et que vous ne pouvez admettre que les pays africains puissent �tre souverains ; <br /> Tous deux, lors de vos s�jours � Djibouti, vous �tiez les plus grands supporters fran�ais de Jean-Marie Le Pen et vous avez men� � Djibouti sa premi�re campagne lors des �lections ��pr�siden- tielles � fran�aises; <br /> Tous deux, vous �tes devenus, apr�s l'�lection de NICOL�S SARK�ZY DE NAGY-BOCSA, de farouches �ISLAMOPHOBES� racistes qui r�clament de vider la France de ses citoyens noirs, plus particuli�rement, les Africains ainsi que les Arabes ;<br /> <br /> C'est pour cette haine que vous portez au Peuple Africain et Arabe de la Somalie que j'ai recommenc�, le 12 novembre 2009, � d�noncer vos comportements racistes qui n'ont cess� depuis l'�poque o� vous �tiez entrain de casser des Africains et des Arabes !<br /> <br /> Vos manigances et vos intimidations r�ussissent parfois lorsque vous les utilisez contre certains politiciens corrompus comme vous et malheureusement, contre certains jeunes djiboutiens. Par apr�s, vous vous targuez d'avoir calomni� et racont� des mensonges contre les Djiboutiens, tout en vous vantant que le gouvernement fran�ais ne vous condamnera jamais � cause des abus commis contre des �n�gres� �. Pire encore, si des Djiboutiens se d�fendent pour d�noncer vos crimes vous les menacez de poursuites judiciaires et pour ce faire, vous leur dites que vous n'aurez rien � payer � vos avocats ! Cette justice fran�aise nous rappelle le m�pris des droits les plus �l�mentaires des autochtones dans vos colonies, y compris, apr�s la fameuse D�claration des Droits de l'Homme et du Citoyen, du 26 ao�t 1789, tout comme elle nous rappelle la justice occidentale appliqu�e depuis septembre 2001 contre les Peuples du Sud et de l'Est. Pour vous aider � r�fl�chir sur le sujet, je vous sugg�re de lire deux livres que j'ai lus il y a quelques ann�es, �crits par Ma�tre Jacques Verg�s, ancien combattant antifasciste et un anticolonialiste convaincu : � L'APARTHEID JUDICIAIRE OU LE TPI ARME DE GUERRE � et �LA D�MOCRATIE � VISAGE OBSC�NE ; LE VRAI CAT�CHISME DE GEORGES W. BHSH�. <br /> <br /> Je me demande d'ailleurs, comment deux petits p�dophiles et agents double fran�ais, comme vous, ont le culot de s'attaquer aux peuples africains et arabes, alors que votre pays, la France n'est pas seulement aujourd'hui un protectorat am�ricano-sioniste et en plus la p�dophilie se trouve au sommet de l'�tat fran�ais et l�, je ne parle pas seulement d'un certain ministre de la culture, Fr�d�ric Mitterand... Le fait que vous vous int�ressiez � Djibouti et que notre pays devienne votre leitmotiv de vivre et non pas votre pays, la France, cela est une preuve irr�futable que les deux p�dophiles et agents double fran�ais sont tr�s bien pay�s par Guelleh la terreur et votre gouvernement fran�ais pour mener quotidiennement des campagnes immondes contre notre Nation, toutes communaut�s, ethnies et tribus confondues.<br /> <br /> Je me souviens qu'un jour, vous m'avez tous deux �crit pour admettre que mes �crits rendaient fou de rage votre bienfaiteur et ma�tre, le tyran Guelleh et cela ne vous a pas plu ! Je sais que mes �crits rendent fou de rage le tyran Guelleh et c'est pourquoi, il m'a fait payer tr�s cher le prix pour mes prises de position courageuse mais, il n'a pas r�ussi � me b�illonner. Je sais aussi qu'� pr�sent, Schaal et Pticon, vous �tes comme votre ma�tre Guelleh, fous de rage, parce que tout ce que j'�cris sur vos crimes, je le fais en produisant des documents comme preuves. Je n'y peux rien pour vous, je suis un patriote qui d�fend son pays, Djibouti et qui par la m�me occasion est solidaire des peuples opprim�s. <br /> N'ai-je pas impos� au Comit� central du FLCS, alors que je n'�tais qu'un repr�sentant en Europe, de surcro�t d'�ge mineur, le mot d'ordre que j'avais choisi pour mettre sur les 10 000 fanions que j'avais fait fabriquer pour le FLCS, par l'Union Internationale des �tudiants (UI�), fin 1967, d�but 1968 : ��DJIBOUTI : C'EST POUR ELLE QUE NOUS VIVONS ET C'EST POUR ELLE QUE NOUS ALLONS MOURIR � ��FLCS: SOUTENONS LES OPPRIM�S ET LUTTONS CONTRE LES OPPRESSEURS�� (Document No 2). <br /> � Nous ne pouvons pas discuter avec ces gens-l� ��Le martyr Mohamed�Larbi Ben M'hidi<br /> Messieurs Jean-Loup Schaal et Roger Pticon, j'ai 2 simples petites questions � vous poser et je vous d�fie d'avoir le minimum d'honn�tet� pour y r�pondre :<br /> <br /> 1- Au Vieux Loup enrag� :<br /> Comment expliques-tu que dans les ann�es 1980, alors que tu faisais des affaires avec Djibouti, depuis 8 ans (de 1980 � 1988), tu n'as jamais lev� le petit doigt pour d�fendre les droits du peuple djiboutien y compris ceux de qui tu as abus� de leur hospitalit� et surtout les enfants mineurs que tu as viol�s. Tandis qu�aujourd'hui, au cr�puscule de ta vie, tu oses pr�tendre d�fendre les Djiboutiens une fois que le tyran Guelleh et son oncle le dictateur Gouled t'ont expuls� de Djibouti et t�ont accus� d'escroquerie pour la vente de mat�riel informatique d�suet, de banditisme, de d�tournement de mineurs, de p�dophilie ...<br /> - Enfin, tu as os� me prof�rer des menaces d�biles afin que je cesse de d�noncer le r�gime dictatorial de Djibouti, penses- tu que je c�de aux intimidations et aux menace de petits mercenaires, alors que je ne l'ai pas fait devant le tyran Guelleh et votre gouvernement colonial fran�ais ? <br /> <br /> 2- Au Pticon :<br /> Tu �tais un espion au DATALAT, au sein des Forces Fran�aises Stationn�es � Djibouti ( FFDJ) de 1986 � 1989 et comme tu reconnais toi-m�me dans ton �crit, tu n'�tais plus dans l'obligation de r�serve depuis 1990. De plus, tu as os� pr�tendre que tu es membre du PRD- Parti d�opposition djiboutien depuis janvier 1996. De ce fait, tu reconnais implicitement que tu n�es pas un d�fenseur des droits humains mais plut�t un n�ocolonaliste et un mercenaire qui essaie de s�immiscer dans la politique int�rieure de mon pays, Djibouti ;<br /> <br /> - Comment expliques-tu le fait que tu n'as jamais lev� le petit doigt pour d�fendre les droits des Djiboutiens ni lorsque tu �tais � Djibouti en tant qu'agent double de ton pays, la France et du tyran de Djibouti, Guelleh, et encore moins depuis 1990 lorsque tu n'�tais plus sous l'obligation de r�serve, ni m�me encore depuis janvier 1996, o� tu pr�tendais �tre membre du PRD-( MRD), parti d�opposition djiboutien ?<br /> <br /> -Et pourquoi as-tu attendu jusqu'� 2000, au cr�puscule de ta vie, du jour au lendemain tu sors du n�ant pour pr�tendre d�fendre les Djiboutiens alors que durant toute ta vie, tu �tais un espion, un tortionnaire et un sanguinaire ?<br /> <br /> MES PETITS N�OCOLONIALISTES, JE VOUS POSE UNE DERNI�RE QUESTION :<br /> <br /> ��Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre coeur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, o� que ce soit dans le monde..�� Ernesto Che Guevara<br /> <br /> Qui vous a donn� le droit ��divin�� pour que vous vous permettiez d'accuser, d'insulter, de calomnier et de menacer les Djiboutiens plus particuli�rement, les d�fenseurs des droits humains dont je fais partie et les dirigeants des vrais partis d�opposition djiboutiens ainsi que les peuples de la Corne de l'Afrique en g�n�ral et de la P�ninsule Arabique, � partir de votre site internet sans que vous ayez le minimum de respect pour la dignit� humaine ni pour les r�glements d�crits pour les utilisateurs d'internet?<br /> <br /> <br /> <br /> Pour toutes les raisons cit�es plus haut, JE VOUS SOMME, Messieurs Jean-Loup Schaal et Roger Picon�:<br /> <br /> . De cesser illico toutes vos insultes, accusations, calomnies et menaces que vous prof�rez contre les Djiboutiens, � l'exception de votre ma�tre, le dictateur Guelleh et ses associ�s ;<br /> <br /> . De vous r�tracter pour les insultes racistes que vous avez prof�r�es contre les diff�rentes communaut�s djiboutiennes et de ne jamais vous attaquer � une tribu, ethnie ou � notre Nation dans son ensemble ; <br /> <br /> . De retirer clairement et sans aucun jeu de mots ou la moindre ambigu�t� toutes les fausses accusations, mensonges et insultes que vous avez prof�r�s sur votre site internet contre les d�fenseurs des droits humains et les dirigeants des vrais partis d�opposition ;<br /> <br /> . De cesser d'utiliser le nom Association pour le respect des droits de l'homme � Djibouti (ARDHD), alors que votre organisation est compos�e uniquement de 3 fran�ais : vous deux et l'associ�e de Schaal � la soci�t� TITANE ;<br /> <br /> . De vous excuser de vos monstrueuses accusations dans lesquelles vous dites que j'appartenais au bureau politique du RPP- Parti-�tat alors que vous savez pertinemment que je n�ai jamais appartenu � aucune de ses instances (plusieurs ministres de ce Parti �tat ne font pas partie de cette haute instance du dit parti) et que bien au contraire ses dirigeants ont caus� � ma famille et � moi, le pire des abus et crimes.<br /> <br /> Quant � ma lutte, elle est contre le tyran Guelleh qui viole les droits humains des Djiboutiens et qui les pers�cute quotidiennement mais elle est surtout en faveur de l�int�r�t supr�me de toute la Nation djiboutienne.<br /> <br /> C'est pourquoi je demande � vous deux, petits espions � la solde du tyran Guelleh et de votre gouvernement fran�ais, de ne pas me distraire avec vos enfantillages et votre racisme parce que vous �tes � mes yeux qu�un parasite pour le premier et une vermine pour le second, alors je vous demande de vous� �carter du chemin des d�fenseurs des droits humains, des dirigeants des vrais partis politiques et de laisser le peuple djiboutien mener sa lutte � sa guise contre la dictature de Guelleh-Batal, sans aucune entrave de la part de n�ocolonialistes que vous �tes. Sinon, je serai malheureusement oblig� de mener une lutte de longue haleine non seulement contre votre ma�tre le tyran Guelleh mais aussi contre vous, les marionnettes de ce dernier.<br /> <br /> Le R�v�rend Martin Luther KING disait�: ��Un homme meurt lorsqu'il refuse de se battre pour la v�rit� et la justice.�� Pour ma part, j�ajouterai que Le silence devant l�injustice est un crime, c�est pourquoi, les forces de la justice, de la paix et de la d�mocratie auxquelles j�appartiens ne doivent jamais c�der devant le chantage et les menaces des malfaiteurs comme vous...<br /> <br /> Je termine cette mise en demeure en vous laissant m�diter sur cette pens�e du Mahatma GANDHI : � Quand je d�sesp�re, je me souviens que tout au long de l�Histoire, la voie de la v�rit� et de l�amour a toujours triomph�. Il y a dans ce monde, des tyrans et des assassins et pendant un temps, ils peuvent nous sembler invincibles mais � la fin, ils tombent toujours. Pensez toujours � cela �. <br /> <br /> Ali Dahan, Ph.D. , D�fenseur des Droits Humains, Apolitique<br /> Pacifiste mais jamais passif face � l'injustice<br /> <br /> ( 1 ) - Qui sommes-nous 15/03/2008 Magharebia est sponsoris� par le United States Africa Command, le commandement militaire (USAFRICOM)<br /> Le portail Magharebia est sponsoris� par le United States Africa Command, le commandement militaire responsable du soutien et du renforcement des efforts am�ricains pour promouvoir la stabilit�, la coop�ration et la prosp�rit� dans cette r�gion du globe. Le site web Magharebia est une source centrale d�informations et de nouvelles sur le Maghreb en trois langues : arabe, fran�ais et anglais. L�objectif de Magharebia est de fournir des informations pr�cises, mesur�es et tourn�es vers l�avenir sur l��volution du Maghreb. Six jours par semaine, ce site reprend les principales informations de la r�gion telles qu�elles sont rapport�es par les m�dias locaux et internationaux. Il propose �galement des analyses, des interviews et des commentaires r�alis�s par les correspondants r�mun�r�s de Magharebia dans la r�gion.<br /> Magharebia 2009- 05-11 L'instabilit� en Somalie inqui�te ses voisins du Maghreb <br /> ( 2) - Il est possible sur demande de vous envoyer ( par Fax ou par la poste) copie du Fanion du FLCS que j'ai fait. Tout comme il est possible d'envoyer � un patriote djiboutien qui fait une demande pour un fanion du FLCS en donnant son vrai nom et ses coordonn�es et en prouvant qu'il ne fait pas partie des agents de Guelleh et de ses ma�tres �trangers qui occupent notre pays.<br /> <br /> *******************************************<br /> <br /> III- LE CHEMINEMENT D'UN PATRIOTE ANTICOLONIALISTE ET ANTIDICTATORIAL - DIRE LA V�RIT� DANS TOUTES LES CIRCONSTANCES EST LE CHOIX D'UN CROYANT ET LE DEVOIR D'UN PATRIOTE <br /> <br /> � Il est une chose qui prit fortement racine en moi : la conviction que la morale est le fondement de tout et que la v�rit� est la substance de toute morale �. Mahatma Gandhi<br /> <br /> D�j� ma prise de fonction, en mars 1978, au Minist�re des Affaires �trang�res et de la Coop�ration Internationale (MA�CI), mon ministre titulaire de l'�poque, M. Abdallah Mohamed Kamil qui �tait aussi Premier Ministre et Ministre de la D�fense m'a charg� de monter un service de la documentation et des archives au sein du MA�CI et de pr�parer un document soulignant le 1e anniversaire de l'ind�pendance. Il m'a demand� de coordonner le dit travail avec Isma�l Omar Guelleh qui �tait alors, responsable de l'Information et de la Presse. D�j�, d�s la 1e r�union avec celui-ci, j'ai constat� qu'il �tait encore un agent de l'�tranger et qu'il avait la mainmise sur l'appareil de l'�tat. Guelleh refusait que j'�crive sur le r�le jou� par les martyrs de Djibouti dans la lutte pour l'ind�pendance : feu Mahmoud Harbi et le jeune patriote, feu Mohamed Ahmed dit Doudou et refusait �galement que j'ajoute au texte, leurs photos et celle du Premier Ministre. Tout comme il refusait que je mentionne le r�le jou� par le Front de Lib�ration de la C�te des Somalis (dite fran�aise) - FLCS- et le Mouvement Populaire pour la Lib�ration � MPL - durant la lutte de lib�ration nationale (h�las, aujourd'hui, certains des dirigeants de ces deux organisations ont vendu leur �me au dictateur Guelleh qui, � l'�poque de cette lutte, portait un ��Tchador�� -Cagoule- pour d�noncer les ind�pendantistes djiboutiens, d'o� son surnom de Tch�darl�, en sa langue maternelle, somalie). J'ai donc demand� � mon Ministre titulaire d'accepter ma proposition de ne plus travailler avec celui-ci. <br /> <br /> � cause de mes convictions, de mon franc-parler et de mon honn�tet�, j'en ai pay� tr�s cher le prix. Alors que j'�tais Chef de Service de la Documentation, de la Presse, de l'Information et des Archives au MA�CI, � Djibouti, je continuais � d�noncer les abus de pouvoir et les violations des droits humains par Guelleh et sa horde. J'ai donc eu pendant 3 ans un inspecteur en civil (qui se d�guisait en ivrogne) devant ma r�sidence et qui contr�lait mes all�es et venues. <br /> <br /> Malgr� que j'�tais le plus haut grad� au sein de l'Administration centrale du Minist�re des Affaires �trang�res et de la Coop�ration Internationale (MA�CI), pour me mettre � genoux, Guelleh avait d�cid� de me faire habiter un logement administratif (au Quartier No 1), sans fosse sceptique et son insalubrit� a caus� bien des probl�mes � toute ma famille dont j'ai d�j� fait mention. <br /> <br /> Pendant ce temps, les espions de Guelleh (et le fr�re cadet de ce dernier Youssouf dit Youy� qui �tait sous mes ordres au Service de la Documentation du MA�CI) avaient tous des logements administratifs tr�s confortables et ce, malgr� qu'ils �taient tous moins grad�s que moi : Dile�ta Mohamed Dile�ta, Adjoint au chef du protocole (surnomm� par la secr�taire du service du protocole, Mme Amina Se�d -ANZA- (ch�vre) parce qu'il courait comme une ch�vre � chaque fois que son ma�tre Guelleh l'appelait), actuellement Dile�ta est Premier ministre, Mohamed Ali Chaker, (illettr�) Chef du Service du Protocole (qui �tait en r�alit� le maquereau de Guelleh), Ali Abdi Farah, connu � Djibouti sous le nomn d'Ali Bordel, actuel Ministre des Communications et de la Culture qui �tait � l'�poque, Chef de Service de l'Administration g�n�rale et des Affaires Consulaires; Mohamed Hassan Abdillahi, actuel Secr�taire G�n�ral du gouvernement, Chef du Service des Relations Multilat�rales; Rachad Ahmed Saleh Farah, actuel Ambassadeur � Paris, Chef de Service des Relations bilat�rales. Quant � Dysane Dorani, il n'�tait qu'un simple Chef de bureau des ONG au MA�CI, idem pour Youssouf Omar Doualeh qui �tait aussi sous mes ordres au service de la documentation, actuel ambassadeur en Inde � (d�cret, arr�t�, d�cision, acte de d�c�s de ma m�re, certificats m�dicaux de mon �pouse et de mes enfants et lettre des membres de la Commission d'Hygi�ne et de la S�curit� -Inspecteur National de la Protection Civile- qui on fait le constat sur l'�tat du logement que j'occupais, peuvent �tre envoy�s sur demande (pour preuves), par t�l�copieur ou courrier postal).<br /> <br /> Ma �nomination�, comme diplomate aux �tats-Unis d'Am�rique, �tait plut�t un exil camoufl�. Presqu'un an apr�s, le 5 mai 1990, j'appris le pogrom contre la composante Afare de notre Nation, les violations des droits fondamentaux et les arrestations de plusieurs opposants, j'ai donc d�cid� une fois de plus de condamner la dictature en place. Je me suis rendu le 11 mai 1990, rendre visite � Paris � quelques dirigeants de l'opposition (le coupon d'embarquement dans l'avion peut �tre fourni sur demande) et un mois plus tard, c'est-�-dire le 11 juin 1990, j'ai d�missionn� de mon poste de diplomate � Washington, D.C. et j'ai rejoint l'Union des Mouvements D�mocratiques (UMD) jusqu'� sa dissolution pour lequel j'�tais Repr�sentant permanent en Am�rique du Nord, puis d�s la cr�ation du Front pour la Restauration de l'Unit� et de la D�mocratie (FRUD), je devins le premier Djiboutien non Afar � acc�der � sa direction comme Repr�sentant permanent aux Am�riques, peu de temps apr�s, mon ancien coll�gue lors de la lutte de lib�ration nationale au sein du FLCS, Omar Elmi Khaireh, d'origine Issa est devenu Vice-pr�sident du FRUD, par la suite, des centaines de Djiboutiens non Afars se sont joints au FRUD, enfin, en juin 1992, lors de la rencontre en vue de la cr�ation du Front Uni de l'Opposition Djiboutienne (FUOD), � Paris, je fus d�sign� comme Repr�sentant permanent du FUOD en Am�rique du Nord.<br /> <br /> Apr�s ma d�mission de mon poste de Diplomate, � Washington, D.C., le 11 juin 1990, Gouled et �son neveu� Guelleh ont demand� l'intervention du gouvernement du Y�men qui m'a envoy� le Tr�s Honorable Mohsen Al-Aini, Ambassadeur du Y�men aux �tats-Unis d'Am�rique (ex-Premier Ministre du premier gouvernement r�publicain du Y�men) afin de me convaincre de reprendre mon poste de diplomate et pour que je cesse mes �crits contre eux et leurs acolytes. Mais j'ai refus� et j'ai plut�t pr�f�r� les affres de l'exil que de fermer les yeux devant les crimes de Guelleh et sa horde. Par la suite, Guelleh a fait pression sur mon fr�re a�n� Ahmed afin que celui-ci puisse me convaincre de retourner � Djibouti pour occuper un soi-disant poste minist�riel. Mon fr�re en me t�l�phonant de Djibouti, me fit part de ce message, tout en me priant d'�tre vigilant... Malheureusement pour lui, le t�l�phone �tait sur �coute. Et comme j'ai refus� l'offre de Guelleh et que j'ai continu� � �crire pour d�noncer la dictature � Djibouti, ce dernier s'est veng� par apr�s en exterminant toute ma famille qui se trouvait � Djibouti. En effet, mon fr�re a�n� Ahmed et ses 2 gar�ons (d�but et fin de la trentaine) ont �t� empoissonn�s par une espionne, originaire du pays de naissance de Guelleh. N'ont pu �chapper � cette terreur, que les 2 filles et un gar�on d'Ahmed qui vivent � l'�tranger. Quant � mon 2�me fr�re a�n�, Mohamed Dahan, ex-Secr�taire g�n�ral-adjoint du FLCS et ex-Pr�sident du syndicat du FLCS, bien connu � Djibouti et de par le monde, comme �tant un grand syndicaliste, lui aussi a �t� empoissonn� � Sana'a par un espion Djiboutien de Guelleh, issu de ma propre ethnie. L� aussi, c'�tait une revanche de la part de Guelleh parce que Mohamed Dahan avait organis� une grande manifestation syndicale � Djibouti avant qu'il parte en exil. Le tyran Guelleh n'a m�me pas �pargn� ma soeur a�n�e, pourtant apolitique, qui r�sidait avec son mari, � Cardiff, en Grande-Bretagne, apr�s un voyage � Djibouti, � la veille de son d�part, elle a �t� empoisonn�e, elle aussi ! Si aujourd'hui une de mes soeurs et un de mes fr�res (Abdourahman, ex-Responsable du FLCS en Somalie puis ex-Repr�sentant du dit front en RDP du Y�men, d�go�t� par le racisme gr�gaire de certains politicards djiboutiens, il a laiss� la politique et pr�f�ra vivre en exil) sont encore en vie, c'est parce qu'ils vivent �galement � l'�tranger...<br /> <br /> C'est pourquoi, d�s le mois de d�cembre 1990, lorsque j'ai eu la certitude que des �l�ments, au sein m�me de l'opposition, avaient des attitudes discriminatoires, pratiquant le client�lisme et le favoritisme, j'ai commenc� la lutte contre ces �l�ments pseudo-d�mocrates afin d'�radiquer � tout jamais cette gangr�ne qui se d�veloppait au sein m�me de nos organisations d'avant-garde. J''ai d�couvert que certains pseudo dirigeants de l'opposition djiboutienne qui ont �difi� le socle du r�gime en place, depuis le d�but de l'ind�pendance, menaient une politique aussi criminelle que celle du clan de Guelleh-Batal. C'est pourquoi, il n'est pas �tonnant de constater que certains, parmi ceux-ci, se sont ralli�s de nouveau au dictateur Guelleh et que d'autres aujourd'hui, sont entrain de l�cher les bottes des forces d'occupation �trang�res stationn�es � Djibouti afin de les aider � faire partie � nouveau de l'�quipe gouvernementale du tyran Guelleh, alors qu'en toute logique, lui, ses anciens et actuels collaborateurs directs comme Jean-Paul Abdi No�l et d'autres, peu importe leurs origines tribales et/ou ethniques, devraient �tre �cart�s compl�tement du pouvoir, traduits en justice et condamn�s pour les d�tournements de fonds et tous les crimes qu'ils ont commis contre la population civile, plus particuli�rement contre celle du Nord et du Sud-Ouest du pays...La bienveillance de Dieu comporte des devoirs envers son Peuple, des devoirs auxquels se soustraire est d�gradant. Et je suis convaincu que la justice, la paix et la v�rit� triompheront de l'hypocrisie et du mensonge et de la tyrannie.<br /> <br /> Fin mars 2000, l'ambassadeur de Guelleh � Paris remettait un passeport � tous les membres de la d�l�gation du FRUD dont je faisais partie, sauf moi. J'�tais le seul � voyager avec un Laissez-Passer, aller-simple, No 012/00... Je suis entr� � Djibouti malgr� tout, le mercredi 29 mars 2000, avec la d�l�gation du FRUD dirig�e par Ahmed Dini, pr�sident du FRUD (ex-Premier ministre) aux fins de participer aux n�gociations de r�conciliation nationale qui devaient faire suite, � l'Accord cadre de ��Paix��, sign� � Paris, le 7 f�vrier 2000, mais h�las, j'�tais l'otage du tyran Guelleh qui avait jur� de m'assassiner cette fois-ci...<br /> <br /> Ahmed Dini, pr�sident du Front pour la Restauration de l'Unit� et de la D�mocratie (FRUD) m'a confi�, mercredi, 12 avril 2000 qu'Isma�l Omar Guelleh, Pr�sident de la R�publique de Djibouti venait de lui dire "J'AI DES PROBL�MES PERSONNELS AVEC DAHAN. LAISSE-LE MOI ..." TR�S GRAVE D�CLARATION QUAND ELLE �MANE D'UN TEL NIVEAU. Je me demande ce que je peux bien avoir comme probl�mes personnels avec ce petit indic minable ! Tout ce que je sais, c'est que je l'ai rendu fou de rage,avec mes �crits et d�clarations aux m�dias qui condamnent ses crimes contre notre peuple et qu'il a une haine visc�rale contre moi, tout simplement parce que je suis un patriote et que selon lui, j'ai d�pass� la limite du droit d'expression qu'il autorise aux minorit�s ethniques... et surtout, parce que j'�tais le premier Djiboutien non Afar � faire partie de la direction du FRUD, au moment o� celui-ci et son oncle le pr�sident Gouled pr�tendait que le FRUD �tait compos� seulement d'Afars et de surcro�t venant de l'�tranger. Ce n'est donc pas un fait du hasard que ce tyran m'a envoy� son chef du protocole en personne, Mohamed Ali Chaker, pour me bousculer afin de m'�loigner de la d�l�gation du FRUD, le 29 mars 2000 d�s l'arriv�e de notre d�l�gation du FRUD, au salon d'honneur de l'a�roport de Djibouti...<br /> <br /> Le dictateur Guelleh avait jur� � qui veut l'entendre que je ne pourrais plus jamais sortir vivant de Djibouti... Le 10 avril 2000, il mit sa menace � ex�cution, alors que je rentrais d'une mission � Tadjourah (Nord du pays) avec le reste de la d�l�gation du FRUD, le soir m�me, il m'a envoy� le fr�re de l'un de ses policiers pour m'assassiner. Malheureusement, c'est mon petit cousin maternel Khaled chez qui j'habitais qui a re�u un coup de poignard � l'abdomen... (voir pour preuve le Rapport du D�partement d'�tat et du S�nat des �tats-Unis d'Am�rique de 2000 sur les violations des droits humains � Djibouti, pr�par� en mars 2001). Le 27 avril 2000, � la veille de mon d�part pour le Canada, alors que j'�tais � l'h�tel Allia, il a essay� de m'empoisonner comme il l'a fait pour plusieurs de ses opposants, Elabe, Che�kho et tant d'autres...<br /> Son comportement �tait une �ni�me violation de l'Accord cadre de Paix sign� � Paris, le 7 f�vrier 2000, entre le pr�sident du FRUD et le gouvernement de Djibouti et en d�pit de la Loi sur l'Amnistie (no. 78/AN/00/4e L) adopt�e par l'Assembl�e Nationale Djiboutienne en faveur des dirigeants et membres du FRUD dont j'�tais le Repr�sentant permanent aux Am�riques. <br /> <br /> Guelleh croit que l'�tat djiboutien est son entreprise priv�e, il a d� se rendre � l'�vidence qu'il ne peut pas tout se permettre lorsqu'il est � l'�tranger et a d� se sauver, comme un l�che, de la ville de Qu�bec (Canada), apr�s que 4 de ses gardes du corps m'eurent agress� , le 17 octobre 2008, en plein centre-ville de Qu�bec, une journ�e avant la cl�ture du XIIe Sommet de la Francophonie qui avait lieu � Qu�bec (Canada) du 17 au 19 octobre 2008 et surtout � cause des manifestations que j'avais organis�es contre lui et ce parce qu'il a une peur bleue des m�dias (voir ci-joint entre autre un article du NOUVEL AFRIQUE-ASIE- DICTATURE DJIBOUTIENNE, du mois de d�cembre 2008).<br /> <br /> Dieu a ordonn� au croyant de dire la v�rit� devant tout le monde, sans tenir compte des reproches qui peuvent lui �tre adress�s. Les croyants disent par cons�quent : ��Dites toujours la v�rit� et �vitez le mensonge, m�me si vous avez tout � gagner � mentir et tout � perdre � dire la v�rit頻. La r�ponse du non-croyant serait : ��Qu'ai-je � faire d'une v�rit� qui ne m'est d'aucun profit et qui, au contraire, ne m'apporte que des ennuis ? Pourquoi �viterais-je de mentir, si cela peut me profiter sans que je coure aucun risque��. Je vous ai habitu� � dire toujours la v�rit� alors que j'�tais fonctionnaire de l'�tat et surtout lorsque j'�tais diplomate, je touchais, � cause de mes exp�riences de travail acquises dans une organisation internationale � Gen�ve et de mes nombreuses ann�es d'�tudes, approximativement cinq cent mille francs Djibouti (500 000 FD par mois , lorsque j'�tais � l'�tranger)...<br /> <br /> Je ne pouvais donc pas rayer d'un trait, plus de 40 ans de lutte pour mon pays et je n'ai jamais song�, malgr� tout, � passer � c�t� de mes convictions, ni avant l'ind�pendance, en �tant membre depuis 1965, du Front de Lib�ration de la C�te des Somalis (FLCS) et comme Repr�sentant du FLCS en Europe, depuis 1967, j'ai �t� alors presque 13 ans en exil, ni apr�s l'ind�pendance, comme Repr�sentant en Am�rique du Nord du Front Uni de l'Opposition Djiboutienne (FUOD), ni comme Repr�sentant permanent en Am�rique du Nord de l'Union des Mouvements D�mocratiques (UMD), ni en tant que Repr�sentant permanent aux Am�riques du Front pour la Restauration de l'Unit� et de la D�mocratie (FRUD), j'ai toujours lutt� et je lutte encore pacifiquement pour la justice en faveur de tous les Djiboutiens et non pas pour une ethnie ou pour une tribu en particulier.
MATUMBA
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