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MATUMBA

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14 avril 2009

Ces Békés d’Afrique.

 

"Les colonialistes ne veulent pas admettre qu'un Noir soit l'égal d'un Blanc. Cette conception se manifeste dans le domaine social, dans l'échelle des salaires, dans le traitement médical, dans le logement, dans la justice et hélas, à l'Église. Quelle est alors l'âme éprise de liberté qui resterait insensible devant ce fait révoltant d'un étranger qui traite les enfants de la terre comme des hommes de seconde zone ? La doctrine coloniale n'a jamais cessé de proclamer que le Blanc est un être supérieur et que le Noir, spécialement, ne possède que des capacités limitées... Une telle façon de ne rien faire pour modérer, sauf cas exceptionnel, la discrimination raciale fait beaucoup pour renforcer notre méfiance et notre combativité" (Ruben Um Nyobé)

 

Ces propos collent bien à la situation qui prévaut aujourd’hui à AES/SONEL où, aux dires des employés, le duo d’enfer constitué du ‘maréchal’ Brian Rich et de ‘l’Amiral’ Ranjit Singh sèment la terreur. Les cadres camerounais y sont traités de merde et comme de la merde. Le document que nous vous soumettons se passe de tout commentaire et ses initiateurs l’ont qualifié : ALERTE.

Nous parlions de la nécessité de se sentir solidaires des antillais, parce que, en Afrique nous ne sommes pas épargnés par ces comportements et qu’une solidarité des damnés de la terre est aujourd’hui indispensable.

 

Lisez plutôt ce qui suit.

Depuis bientôt huit mois, c’est le racisme à l’état pur que consomment les camerounais de AES/SONEL sous les airs d’une compression illicite à tête essentiellement chercheuse. C’est la nouvelle trouvaille du duo d’enfer du Maréchal Brian Rich et de sa tête pensante  l’Amiral Ranjit Singh.

Mais non ! Ce n’est pas possible ! Pourtant c’est bien à cela que nous sommes réduits aujourd’hui. Nous en parlons, non pas pour en rire mais pour au contraire en pleurer et faire prendre à l’Etat du Cameroun ses responsabilité face à l’ampleur des dérapages à conséquences graves qui se profilent. Le personnel camerounais de AES/SONEL dans son ensemble, à la stricte exception de quelques marionnettes véreux, est considéré par Brian Rich le Directeur Général et par Ranjit Singh le Directeur Financier  comme des amnésiques faire valoir valant moins que nos ancêtres les esclaves des plantations de cannes à sucre de l’Amérique Latine des années 30, ou encore les mineurs noirs du MINNESOTA ou de l’Afrique du Sud des périodes sombres de la discrimination raciale.

Comment l’Etat du Cameroun, pourtant un Etat de droit dans le concert des nations, a-t-il pu admettre que, près de 50 ans après son indépendance, des négriers soient encore portés au sommet de

la SONEL

, nous disons bien de

la SONEL

, et cela quel qu’en fût le prix. A

la SONEL

, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, les frustrations, les humiliations, bref toutes sortes de servilités et j’en passe que nous servent quotidiennement nos bourreaux sont simplement devenues insupportables au point de participer à noircir en permanence des avis de décès les babillards qui jonchent les mûrs de l’entreprise. D’ailleurs, conscient de l’étendue et de la profondeur de leur forfaiture, toute une Sous Direction en charge de la nécrologie a été créée à

la Direction

des Ressources Humaines ; oui, cette illustre Direction des Ressources Humaines…Nous y reviendrons.

Pour preuve de nos révélations et l’on peut le vérifier à tout moment, depuis le 18 Juillet 2001, l’on aura enregistré de nos collègues, plus de décès des suites de stress qu’entre 1974 et le 18 Juillet 2001. Il y en aura encore davantage si le Gouvernement de

la République

persiste à traîner dans la prise de  décisions salvatrices idoines.

Nous avions pensé jusqu’à présent que la structure du capital social de notre entreprise avait garanti à Brian Rich et aux siens 51% seulement des actions et au Cameroun 49% dont 5% au personnel. A contrario, ne serait-ce pas une vilaine vue de l’esprit. L’on ne devrait pas être loin de s’en douter dans l’environnement du triangle camerounais d’aujourd’hui où l’heure est à l’enrichissement à tout prix de certains qui incarnent les institutions de l’Etat, quand bien même leurs moyens sont loin de le justifier, malgré l’Epervier qui à son tour a trouvé le malin plaisir de prendre du plomb dans l’aile... suivez notre regard.

Dans tous les cas, le Cameroun dispose de plus que la minorité de blocage de par le niveau de ses actions au capital social. Sous quel fallacieux prétexte donc et pour quelle humiliante raison, Bon Dieux ! Viendrait-on à les laisser faire seuls et à leur guise ? Un questionnement pluriel titille alors sans fin nos méninges. Existe-t-il toujours un conseil d’administration où siègent des représentants de l’Etat du Cameroun qui, selon toute vraisemblance, devrait en assurer la présidence ?

M. le Président du Conseil d’Administration, Mbassa Ndine, êtes-vous seulement au courant de l’esclavagisme dont vos concitoyens font les frais depuis quelques mois déjà. A l’origine de cette pratique ignoble, un cercle d’intérêts constitué par le Directeur Général Brian Rich et compagnie. Victimes de cette plus qu’exclusion, de cette discrimination raciale voulons-nous dire, les cadres camerounais et surtout les cadres supérieurs, pour ceux à qui il reste encore un tant soit peu de personnalité, d’honneur et d’orgueil nationaliste,  n’ont plus aucun droit au chapitre. Ils sont maltraités et voués aux gémonies. Ils sont interdits de la moindre réaction fût-elle sensée au risque de se voir expédier une gueulante du genre … I fork you …pour dire …va te faire foutre … je t’encule… Y a-t-il plus esclavagiste que de tels élans.

L’heure est donc grave et véritablement grave pour que l’on s’en préoccupe. Ces attitudes d’humiliation publiques sont allées jusqu’à rétrograder une dizaine de Directeurs et Sous Directeurs démis de leurs fonctions et auxquels l’ordre a été intimé comme à des malpropres de libérer sans délais les bureaux. Pour la grande majorité des démis, il s’agit pourtant de Directeurs de départements techniques. Les raisons de cette envolée restent mystérieusement inconnues. Peut-être le saurons-nous un jour. Nous alertons dès à présent sur les conséquences de cette décision. Elle impose par elle-même de faire un lien de causalité immédiat avec les futurs pénuries d’électricité que le maestro Brian voudra expliquer, si seulement cette fois il aura enfin le temps du respect des institutions de l’Etat et des camerounais qui les incarnent, par l’insuffisance de la pluviosité et le manque subséquent d’eau dans les barrages et par le vieillissement ou le déficit d’équipements.

Le dégraissage masqué des effectifs organisé par Brian Rich et ses sbires va se poursuivre avec vigueur dans les autres Directions de l’entreprise auxquelles il est instruit de ramener le nombre de Sous Directions de cinq à trois ou deux selon la couleur de la peau du Directeur en poste, exception bien évidement faite de l’empire financier de Ranjit Singh qui passe en réalité de cinq Sous Direction à six. Pour quelles raison l’allure d’ensemble des modifications organiques de l’entreprise ne s’applique-t-elle pas à

la Direction

financière de l’Amiral Ranjit si ce n’est lui le DGA pour ne pas dire le DG bis. Oh ! Quelle restructuration et quelle organisation !!! Où sont passées les valeurs AES. L’édifice AES/SONEL présente des pentes d’une raideur qui déséquilibre l’ensemble. Il ne peut donc que s’écrouler et il va s’écrouler très bientôt.

A certains Directeurs et Sous Directeurs qu’ils démettent, nos barbares tortionnaires proposent la dévalorisation du poste de travail occupé en échange du maintien dans l’entreprise, à certains encore ils proposent une fonction subalterne à l’exemple d’un gouverneur de région à qui l’on demanderait, sans qu’il ait été auparavant sanctionné pour quelque faute, de devenir préfet ou sous préfet, et enfin à d’autre il intiment carrément de démissionner moyennant un soit disant package, décompte de séparation négocié, que l’on perdrait, étayé en cas de refus de menaces de licenciement pure et simple pour n’importe quel motif.

Si Gustave Njapon, ancien Directeur de l’Informatique s’en est allé en toute maturité pour éviter le déshonneur qui lui était réservé, il ne sera pas pareil pour ses collègues Directeurs camerounais moins âgés. L’on peut s’attendre que ces derniers se soulèvent et crient haro sur AES/SONEL, manifestant ainsi avec force et peut-être même violence leur désarrois. Les conséquences seront certes graves, mais que voulez-vous, Brian Rich, Ranjit Singh et leurs petits copains Paulo Ravera, Fred Genzardi, Donald Gray en auront décidé ainsi. Pendant que nous y sommes, Jules Minamo et Jean Félix Mbala estent en justice contre AES/SONEL. Demain et dans le même registre, ce sera sans doute Paul Ntonifor,  Ruben Minla’a Mengue, François Elouga, Salomon Fampou, Mme Douala Tongo Marlyse etc… 

Nos bourreaux rêvent-ils de nous servir une mémorable déculottée. Nous ne l’admettrons jamais. Ils apprendront à le savoir vaille que vaille. ENELCAM, EDC, POWERCAM et enfin SONEL sont des phases de la grande œuvre nationale de construction du moteur de l’économie et du développement du Cameroun. Nos parents nous y ont précédés et nous avons hérité d’eux le savoir faire et la maîtrise des métiers de l’entreprise que nous avons gérée pendant 50 ans sans délestages du genre et de l’ampleur que le Cameroun tout entier connaît aujourd’hui. Quelle leçon de gestion d’une entreprise d’électricité peuvent prétendre nous donner les responsables de cet enlisement si ce n’est d’égarer totalement le Cameroun qu’ils transformeraient ainsi en Californie des pénuries répétées et durables d’électricité.

Messieurs les érudits de l’électricité qui n’en détiennent la moindre notion, malgré vos discours à nous endormir, sachiez que… On ne s’amuse pas avec le Cameroun … disait l’autre. Les discours du Directeur Général Brian Rich ont la spécificité de rassurer pour détourner les esprits éveillés et les endormir. L’objectif par eux visé est d’assurer le succès parfait aux manœuvres de destruction et de déstabilisation minutieusement programmées par le cercle d’intérêt conduit par Brian Rich et son alter ego Ranjit Singh. La stratégie mise en place est celle des substitutions successives. Elle consiste à vider de tout son jus le fruit que l’on prétend préférer puis de s’en débarrasser par remplacement avec un nouveau apparemment plus juteux. Par juteux il faut comprendre l’aptitude à colporter, à diffamer à fossoyer et à discréditer les collègues. Quelques camerounais niais se prêtent avec entrain et délectation à ce jeu plutôt amer. Maurice Watat y joue avec maestria dans le but de dissimuler au mieux possible toutes les traces, s’il y en a encore, de ses multiples distractions de deniers de l’entreprise à travers de fausses écritures comptables passées lors des montages des budgets des années antérieures. Alors même que le gros des agents s’inquiète où se plaint de leur Bonus que certains ne se sont d’ailleurs pas vus attribuer, ce monsieur bénéficie en une année d’au moins trois ou quatre bonus et nous vous faisons grâce des montants.

La Direction

des Ressources Humaines peut-elle apporter le démenti. Sans aucun doute et le moment venu, les preuves disponibles de malversation seront  déposées à la commission Epervier de lutte contre les détournements de deniers publics au plan national. Ses acolytes, Jean Pierre Emmaleu et Raymond Marcelin Ndam, ce félon délateur de la première heure qui a trouvé refuge auprès de Paulo Ravera, le petit ami des autres, à qui il sert fréquemment toutes sortes de balivernes aptes à assurer sa survie, sont le ferment de cet odieux système. Rien n’est moins sûr messieurs. Jean Pierre Emmaleu n’est pas moins futé dans le système. Sa feuille de paie ne vous conduira d’aucune façon à son somptueux Duplex au lux insolent du quartier Kotto. Peut-il de jour ou de nuit réaliser un ouvrage de cet acabit par les efforts de son seul salaire. Les hommes de Ranjit Singh, maître à penser du cost cutting se construisent de superbes immeubles avec sa bénédiction et à force de bonus répétés. C’est la mode chez eux. Allez donc voir à Kribi chez Serge Madola., son immense ouvrage est en cours. Ces collaborateurs sont-ils les seuls agents compétents à porter

la SONEL

sur leurs épaules? Dans ce cas, ils sont autant que nos bourreaux, responsables de l’enlisement que nous n’arrêterons pas de décrier. Brian Rich n’a de confiance qu’à ses collaborateurs du SOX 404 qu’il gratifie en raison de leur participation à sa promotion au poste de Directeur Général de AES/SONEL, et à défaut, à ceux de Ranjit Singh  que lui propose le fourbe Maurice Watat. La promotion des Paulo Ravera, Fred Genzardi, Nurfedin Zejnulahi, Jean Mathieu Tchuisseu, Achuo Agbortoko n’en est pas moins la preuve. 

Agbortoko, où sont passés les diplômes empruntés à ton frangin pour aider à ton expatriation ? T’as la mémoire courte semble-t-il. N’essaye pas de chasser de ton esprit le contrôle des parchemins d’il y a quelques années à

la SONEL. Les

procès verbaux sont encore là, tenus en bon état de conservation dans les archives des services de la police. Gare à toi donc.

Quant à vous M. Brian Rich, pouvez-vous retenir qu’une entreprise d’électricité ne peut tenir qu’à son écosystème. Malheureusement, elle ne peut pas par conséquent se gérer comme une épicerie. Expressément vous trompez vous pour nous détourner de vos réelles et très soutenues velléités. Nous en sommes conscients. Avec la complicité à peine voilée de Fred Genzardi pionnier du SOX 404, vous avez réussi un véritable tour de passepasse qui a fait de AES/SONEL une entreprise SOX Compliance. Nous affirmons sans détour qu’à l’état actuelle des choses, AES/SONEL est loin et très loin de l’être. Que le siège de AES CORP ait le courage de commettre un cabinet d’audit, tout à fait neutre, à la vérification de la conformité SOX déclamée si haut par Brian Rich. Il s’en suivra un amer constat du faux organisé et mis en œuvre par le système Brian Rich. Quelle qu’en sera la portée des réquisitions, nous saurons nous rendre disponibles par acquis de conscience et fidélité. Nous avons pour cela l’avantage de la maîtrise des dossiers compromettants dans toutes les Directions de l’entreprise.   

Brian Rich et Ranjit Singh nourrissent des ambitions à la limite de la démesure. Ces néophytes de l’électricité ambitionnent de diriger le groupe AES. Nous n’en avons rien à cirer, c’est leur problème. Ils doivent cependant comprendre que leur chemin ascensionnel ne passera pas par le sang et les dépouilles des camerounais dont les décès sont annoncés chaque matin aux babillards. Nous insistons sur cet aspect et les exhortons à le prendre très au sérieux. Jusqu’à présent le Cameroun est demeuré un parfait îlot de paix dans un océan trouble. Nous ne leur souhaitons pas d’être les auteurs, mêmes déguisés, des remous sociaux qui pourraient engendrer des conflits de types divers qui conduiraient à rompre la paix du moment.  Qu’ils ne perdent pas de vue que nous sommes, et pas eux, les ingénieurs et les techniciens subalternes qui conduisent les centrales électriques, les réseaux et les postes de transport, les réseaux et les postes de distribution. Nous sommes aussi ces cadres et agents là qui mènent les activités comptables, commerciales, administratives, juridiques et des ressources humaines de l’entreprise.  Qu’ils prennent donc garde, les décideurs de AES CORP et l’Etat du Cameroun aussi. Nous envisageons, comme les Lions Indomptables de nous soulever comme un seul homme et les affronter durement et en tout point hautement sensible. Ce sera regrettable, malheureusement nous n’avons pas d’alternative autre. Le jour et l’heure seront connus dans le cours de l’action.

Bonjour les pénuries d’électricité comme en Californie jusqu’à ce que Brian Rich, Ranjit Singh et compagnie libère le plancher. Ah çà ! Oui, vous allez partir du Cameroun sans crier gare et non sans regret.

Tous les médias, soyez nationalistes à publier cette alerte sur les colonnes de vos journaux, communiquez la aux médias télévisuels et radio.

Signé, NAIRB TIJNAR Mle X-Z 999


 

Source: Camerounlink.

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9 juillet 2008

En soutien à MBOA, une internaute interpelle !

Entre les médisances de quelques poltrons qui se rejouissent de la mise en examen de MBOA, de plus en plus de soutiens se déclarent comme celui ci-dessous de madame Malbos. Respect à Mme Malbos.
A ceux qui se marrent, lorsque votre tour viendra, il n y aura peut-être plus personne pour vous soutenir ou alors, on prendra notre temps de rire, nous on ne se cachera pas.

Monsieur, XXXXXXXXXX

En Octobre 2007, deux jeunes filles Congolaises, supposées mineures jusqu’à preuve du contraire, furent remises entre les mains de médecins de votre service hospitalier de Limoges, à fin, justement, de tenter de faire la preuve de leur âge exact.

Ceci à seules fins de justifier la possibilité de leur expulsion du
territoire français.

Passons sur le rôle de  « rabatteur de gibier » de l’état que vous
acceptez de tenir au nom du respect des injonctions des autorités, ou de vos convictions personnelles.

Au marché des esclaves, la valeur marchande des hommes, femmes et enfants, n’étaient pas évaluée autrement que ces jeunes filles ne l’ont été ce jour là dans vos services.

L’hôpital est un lieu où chacun -comme dans les écoles- devrait pouvoir trouver secours, refuge et sécurité.

Voila que grâce à vous, ceci n’est plus vrai.

Votre mission de soin, en quelques gestes, s’est trouvée dégradée à
jamais dans l’esprit d’un nombre incalculable de personnes, condamnées pour nombre d’entre elles à éviter à présent d’amener leur enfant se faire soigner, au cas où un médecin zélé…

Je voudrais vous donner quelques éléments de réflexion, en vous disant des choses que j'aurais préféré ne pas dévoiler dans une lettre vouée à devenir « publique ».

Personne n’a jamais procédé à la radio de mon poignet gauche pour
déterminer mon âge, autour de ma puberté.
Mais je vous certifie que mon corps était celui d’une femme dès mes 14 ans, et qu’à 16 ans, si l’on avait dû évaluer mon âge selon les critères utilisés dans vos services, j’aurais allègrement passé la barre des 20 ans.

Il paraîtrait que certaine de ces jeunes filles dont vous avez outrageusement «évalué le corps », se serait rasée précédemment aux examens.
Mais oui ! C’est possible ! Plein de jeunes et même très jeunes filles se rasent, que ce soit par culture, par esprit d’aventure, pour imiter leur maman ou braver leur interdit, etc… Toutes les raisons sont bonnes à ces âges adolescents pour explorer le terrain des adultes. Qui pourrait prouver qu’il y a eu là fabrication d’un mensonge sur leur âge ?

Tous les examens auxquels les médecins ont ce jour-là procédé pour déterminer l’âge de ces jeunes filles sont, au minimum, inutiles et invalides scientifiquement parlant, et ne peuvent faire preuve auprès d’un tribunal, c’est ce qu’il est d’ailleurs apparu semble t’il par la suite.

Les gestes effectués pour ces examens, eussent-ils même apporté la moindre précision scientifique irréfutable, ne peuvent être qualifiés de moins que du mot « violents ».

Violents, dans le sens du geste qui fait violence, au corps et à l’esprit
délicats de ces jeunes filles.

Violent dans le sens du viol, du corps et de l’esprit délicats de ces jeunes filles.

Vous ignorez peut-être qu’un simple regard peut violer un corps, déflorer l’innocence,  dégrader une dignité, marquer une âme au fer, fouetter d’humiliation un esprit.

Ce corps, cette innocence, cette dignité, cette âme, cet esprit, étaient ceux de chacune de ces deux jeunes filles que ces gestes et regards ont ainsi blessées, jusque dans quelles profondeurs, avec quelles conséquences, pour combien d’années ?

Serez-vous là pour réparer ce qui fut là brisé ?
Vous, le médecin ?

Alors, vinrent tous les articles, lettres et réactions qui s’éditèrent
spontanément sur le net, afin de protester et s’indigner de ces agissements, et de demander des comptes. Vous demander des comptes, c’ était le moins que l’on puisse faire.

Nous sommes encore libres de crier, d’émettre des sons, de poser des mots sur l’ignoble quand il vient au grand jour et s’exerce au nom de la République et de la "protection" de "notre" sécurité et
supposé bien-être de citoyen.

Car c’est de cela aussi qu’il s’agit : on commet des ignominies au nom de la France, et nous ses citoyens n’aurions pas le droit d’émettre fut-ce une objection, une analyse, une supposition ?

A ce jour, je ne sache pas que vos services, vous-mêmes, les médecins mis en cause, aient produit la moindre explication, ni offert d’excuses aux familles concernées.
Peut-être suis-je mal informée ? Il me semble que toute justification ou excuse de votre part aurait déjà fait l’objet d’articles publics, de
droits de réponses, … je n’en suis pas au courant.

Voila qu’à présent parmi toutes ces manifestations de stupeur, de révolte, d’incrédulité épouvantée, de saturation, j’en passe… vous choisissez entre elles la seule indignation de Monsieur Mboa, et vous mettez en tête de le produire en justice, pour diffamation.

Ce choix est accablant. Il semble en effet que parmi tous les nombreux blogs et sites qui ont fait paraître les protestations à votre égard, celui de Monsieur Mboa soit le seul à comporter le mot « Afrique » dans son intitulé. Ce serait un hasard ?

Dans cette situation si difficile, si insupportable, fallait-il en rajouter ?

Une "investigation médicale" que l’on veut à bon droit qualifier
d’attentat à la pudeur, qui renoue avec les époques où le racisme étaitjustifié et institutionnel, est dénoncée avec vigueur par une populationnombreuse et disons très diversifiée, et c’est uniquement le dénonciateur « d’origine » que l’on veut mettre en cause ?

« Victimes Congolaises, dénonciateur Africain, dans le même panier au mêmemarché je ne dirais pas de quoi », je me cite.

Il aurait fallu assigner en justice bien d'autres accusateurs, pour sembler convaincant.

Mais par votre indignation d’aujourd’hui vous voudriez faire oublier sans doute les infamies d’hier. C’est impossible. Vous ne faites par cette attaque en justice que souligner ce silence immense qui nous répond depuis des mois.

« Un turbulent silence », en effet.

Avez-vous tout oublié : femme, mère, sœur, fille, vous devez en avoir pourtant.
Auriez-vous souffert qu’elles subissent ce même attentif examen ?
Avez-vous également oublié l’Histoire ?

Malheureusement, la situation inverse de nos filles françaises pubères examinées de même manière au Congo par des médecins Congolais est tout bonnement inenvisageable, dans nos esprit français comme dans les faits. Je dis malheureusement, car si votre imaginaire avait pu ne serait-ce que formuler l’éventualité de cette situation « miroir », je suppose que toute cette situation misérable aurait eu une chance d’être évitée.

Je me joins aux nombreuses personnes qui déjà offrent leur soutien à Monsieur Mboa.
Vous le faites convoquer en justice, mais, de quel côté se trouve le crime ?

J’attends, avec patience et impatience, que les blessures subies pas ces deux jeunes filles trouvent leur guérison, et que vous trouviez le moyen de participer honnêtement à cette guérison.

J’attends, et agis, pour que cette affaire devienne l’une des affaires
exemplaires des dérives auxquelles mène  actuellement dans notre France, notre Europe, cette conception méprisante et annihilante de l’autre, cet étranger.

Les êtres qui vous dénoncent sont autant citoyens que vous. Les mêmes droits aux mêmes plaintes leur sont acquis. L’asphyxie de la démocratie ne signe pas la mort des Droits de l’Homme, encore moins celle des Droits des Enfants.

Je vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Claire Malbos

4 juillet 2008

Un " Français " expulsé vers le Cameroun

Bizarrerie : Un " Français " expulsé vers le Cameroun

Jean de la Croix Bellon dit être victime d’une confusion qui l’oblige à vivre en terre camerounaise depuis neuf mois.

J.B. Ketchateng

Le Cameroun, il l’aime bien. Les Camerounaises aussi. Comme cette jeune opératrice de " call box " qui lui offre le gîte et le couvert dans un quartier populaire de Yaoundé. Mais, Jean de la Croix Bellon, 51 ans, citoyen français comme il l’assure dès lors qu’il commence à conter son histoire, rocambolesque si l’on s’en tient à sa version des faits, voudrait bien rentrer chez lui, à Garges les Gonesses dans le Val d’Oise, en France. C’est là-bas, sous un abribus, qu’il y a dix mois, le 8 septembre 2007, des policiers l’ont interpellé. Dix jours plus loin, alors qu’un juge lui avait donné 15 jours pour prouver qu’il était bien Français, il est mis dans un avion qui atterrira six heures plus tard à Douala au Cameroun.

" J’ai traîné depuis lors et je me suis retrouvé à Yaoundé par le canal de personnes qui me connaissaient en France ", raconte Jean de la Croix qui, depuis lors, a fait l’apprentissage des relations avec les administrations locales, même celle qui représente " son " pays la France. Au sortir d’un dîner où un ami l’avait convié, la police interpellera au plein coeur de la ville de Yaoundé. Pour les policiers, il était tard, 22h, et l’homme avait l’air suspect. Ce d’autant plus qu’il n’avait point de papiers. En dehors de cette pièce dressée lors de son expulsion et qui renvoie au Cameroun un nommé Jean de la Croix Bellon, né à Sada-Cameroun.

Jean de la Croix Bellon traîne aujourd’hui avec lui un extrait d’acte de naissance envoyé de Mayotte (île française de l’archipel des Comores) par la commune de Sada. " Je suis Français et je me dis que la police a dû se tromper ", clame ce costaud gaillard, l’air fatigué et serein devant tous ces documents qui prouvent au moins qu’il a séjourné en France. Des procès-verbaux de ses passages devant les policiers camerounais. Des copies d’une police d’assurances ou d’examens médicaux qui mentionnent qu’il souffre de problèmes cardiaques et un bout de papier fort important.
" C’est l’accusé de réception d’une lettre adressée à l’ambassadeur de France le 27 décembre 2007. " Depuis lors, il attend une solution, des explications, qui ne viennent pas. A nous également, les services de l’ambassade de France n’ont pas pu répondre rapidement. Même le consulat français de Douala n’a pu le recevoir : " c’est un gendarme camerounais qui répond ", lâche-t-il en même temps qu’il énumère les numéros de téléphone des services consulaires.

Si son histoire peut sembler kafkaïenne, l’homme qui se présente comme styliste -sa saharienne blanche est d’ailleurs estampillé de ses initiales qui constituent sa marque, n’aurait-il pas pu sortir de chez lui avec une pièce d’identité comme doivent le faire des millions de gens? Ses proches ne pouvaient-ils point le tirer d’affaire en présentant ses papiers aux policiers français? " Je suis en France depuis l’âge de 6 ans, j’y suis chez moi et je sors parfois sans mes papiers. On n’a pas peur quand on est chez soi et qu’on ne se reproche rien. J’avais pris rendez-vous avec un pasteur, une dame, qui devait m’aider à sortir de là le lendemain du jour où j’ai été expulsé…"
S’il a retourné le problème dans tous les sens, c’est pour aboutir à la conclusion que la couleur de sa peau -comme la majorité des Mahorais, il est Noir, n’est peut-être pas étrangère à sa situation. Un "compatriote ", Romain Lantin, Français pure souche, qui aurait écrit le même jour que lui à l’ambassadeur de France au Cameroun, serait déjà retourné grâce aux services consulaires, à Lyon. A lui, par contre, on rétorque tantôt qu’il est plus difficile de tirer au clair sa situation puisqu’il vit dans la région parisienne, alors que son ex-compagnon de galère a bénéficié de la situation de Lyon qui est en province…

Source: CamerounLink

27 juin 2008

L’ESCLAVAGE OU LA NEGATION DU NEGRE

Au moment où l'on parle de l'esclavage par ci par là avec son lots d'allégations tendancieuses, il est important de relire ce billet assez construit du frère MBOA.

L’ESCLAVAGE OU LA NEGATION DU NEGRE : Plus grand crime contre l’humanité

Nul besoin d’entretenir la polémique stérile des classifications des crimes chers aux commerçants et autres opportunistes du crime, qui se nourrissent des douleurs, des malheurs et des pleurs des victimes. L’homme étant éloigné de ces préoccupations purement mercantilistes. Classification tirant sa substance sur les sempiternels poncifs du caractère unique (unicité de l’unique ai-je envie de dire) du crime, la haine gratuite, propulsant ainsi le crime au dessus du crime, la divinité du peuple, rendant et positionnant le peuple au dessus des peuples, mais surtout le complot éternel.

JACOB NEUSNER d’affirmer sans détours :

" L’holocauste mal unique n’a pas seulement pour conséquence de donner aux juifs un statut à part, il leur donne "un droit sur les autres" (1)

CYNTHIA OZICK insistant sur le complot écrit ceci :

"Le monde veut éradiquer les juifs,[]le monde a voulu toujours éradiquer les juifs" (2)

Cette lecture, cette vision unilatérale du crime n’est sans aucun doute qu’une vue de l’esprit, qui relève d’un pur phantasme. Une douleur est une douleur quel que soit le référentiel.

La question de savoir qui des palestiniens aujourd’hui , en passant par les Noirs, les Indiens, les Aborigènes etc. a plus de douleur est une escroquerie intellectuelle et morale et pour l’histoire une FALSIFICATION.

Par la durée, la cadence, le rythme, la quantité (devrions-nous parler de quantité ?) de victimes, certaines âmes, même avec l’hésitation qu’on pourrait lire dans leurs propos, reconnaissent que, l’esclavage, malgré la chape de plomb, l’omerta qui, tuent une seconde fois les victimes, et méprisent les familles ( Je pense aux déportés Noirs de tous les Continents, aux familles Africaines éplorées et éprouvées), est contrairement aux idées imposées à coups de boutoirs dignes des campagnes de marketing, est le plus grand crime commis contre l’humanité.

GEORGE KAY à ce sujet écrit :

« En quatre siècles et sans répit le monde chrétien a capturé, acheté, revendu cinquante millions d’êtres humains. C’est peut être le plus grand crime qu’il ait jamais commis contre l’humanité » (3)

Ces propos sont d’un reporter Anglais au Daily Express britannique, ayant servi dans la RAF (Royal Air Force) pendant la guerre Européo- Américaine contre l’Allemagne et le Japon, en langage européocentriste : Deuxième guerre mondiale. C’est dire si ce témoin de la guerre dite mondiale et de ses exactions a pu constater et tirer la conclusion qui est la sienne.

Bien qu’en le disant en son corps défendant, le regret dans l’âme, l’hésitation dans les mots « peut-être », George KAY , se démarque du psittacisme occidental sur la falsification de l’histoire des NOIRS, et dit la calamité, la catastrophe, l’horreur, le mal qu’a été l’esclavage, non pas comme un détail comme il est traité dans tous les manuels scolaires occidentaux et malheureusement africains fort de l’adage « Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur ».

Seulement, réduire la liste des auteurs de cet indicible, inimaginable, innommable, inqualifiable bref de ce MAL ABSOLU (mais pas unique) au seul « monde chrétien », c’est absoudre toute la société occidentale de ses responsabilités.

On comprend donc moins bien pourquoi, si l’humanité se réduisait soit à n’avoir que la peau blanche ou à la pratique du christianisme, seul le NEGRE a subi les assauts, les foudres de la barbarie blanche, puisque l’une des conditions était vérifiée. Les NEGRES par le truchement des missionnaires occidentaux, pratiquaient le Christianisme depuis que l’Infant DOM Henrique, dit Jean le Navigateur, duc de visen et seigneur de Couilha avait décidé de jeter son dévolu sur l’Afrique noire, comme le rapporte GOMES EANES de ZURARA. (4)

Le danger que pourrait cacher le propos de KAY, est d’introduire un argument que les falsificateurs de l’histoire NEGRE utilisent pour se dédouaner, se « blanchir » la conscience tant elle est crasseuse est, la participation des NOIRS, leurs rôles d’acteurs dans l’esclavage. D’ailleurs cet argument me fait penser à la REICHSVEREINIGUNG et le rôle des juifs dans l’Holocauste. Pourquoi parler d’une participation active pour certains et de la participation « forcée » chez les autres ? Que cache cette argumentation ?

Car si le monde chrétien englobe aussi les NOIRS et que la peau ne fut qu’un argument « insignifiant, les Noirs enrôlés de force dans le christianisme, se sont avérés être d’une aide précieuse dans la capture des leurs qui, comme le souligne GOUDJINOU METINHOUE, « Désormais, à la vue de l’européen le plus insignifiant, l’Africain noir le plus puissant est obligé de se poser le problème de sa propre sécurité » (5).

C’est faire preuve d’une légèreté d’analyse que de souscrire à cette argumentation qui, malheureusement avec bien d’autres développés par ces « fossoyeurs de la vérité » dans la seule optique de semer la zizanie pour mieux régner, a réussi tout de même à créer pas mal de dissensions dans le monde NEGRE.

Du Pape à la plus petite ouaille, du chrétien au païen, de l’armateur au flibustier, du banquier au client, de la ménagère au paysan du coin, toutes les couches de la population ont bénéficié des « services » de ce NEGROCIDE organisé.

Pendant près de 5 siècles, les Occidentaux, toutes les nations confondues, se sont acharnés, sur les NEGRES, ont développé des théories de destruction, ont détruit des NEGRES , se sont accaparés de leur histoire et ce fait est sans précédent dans l’histoire de l’humanité, rendant l’esclavage crime des crimes.

MBOA.

(1) Jacob Neusner "A Holocaust primer" Page 178 (2) Cynthia Ozick « Esquire » 1974 (3) (3) George Kay « La traite des Noirs, Ed.Laffont » paris 1968 (4) Gomes Eanes de ZURARA « Chronique de Guinée » Ed. IFAN (5) Goudjinou Metinhoue « la traite des Noirs à travers la litterature européenne... » p.501

18 juin 2008

MORANDINI S'ATTAQUE A HARRY ROSELMACK

Nous assistons depuis quelques semaines à un lynchage insidieux et racisme feutré du présentateur italien de nationalité française monsieur Morandini sur direct 8 et Europe 1 à l'encontre du français monsieur Harry Roselmack journaliste et mérite à TF1.

Ce racisme ce traduit par plusieurs petites phrases très explicites confirmant ce racisme.

La semaine dernière sur direct 8 : 1) il est évident que je ne voyais pas Roselmack remplacé Poivre d'Arvor au 20h de TF1 trop jeune.

2) mardi 17 juin 2008 sur ce même média, il lance une rumeur consistant à dire que Roselmack serait remplacé par sa compatriote italienne Ferrari pour présenter en plus du journal de 20h du lundi au jeudi, l'émission de 7 à 8 du dimanche seule.

Je rappel aussi émissions enregistrées sur plusieurs mois les différentes allusions à la couleur de peau par ce même italien de nationalité française Morandini à chacune de ses émissions radio et télévision à l'encontre du français sous la monarchie, la république, l'empire, et à nouveau la république monsieur Harry Roselmack.

 

Que veut monsieur Morandini?

 

Je crois comprendre qu'il souhaiterais qu'il y ait que des italiens sur les médias de France.

 

Je me permet de rappeler à monsieur Morandini que l'Italie est une grande nation qui à cette période de grandes gestations du troisième millénaire a plus que d'autres encore parmi les grands pays de l'Europe  besoin de toutes ses forces vives afin de l'aider à affronter les grands défis de demain.

 

Ses compatriotes napolitains plongés dans des poubelles jusqu'au coup ne sauraient me démentir.

Il va de soit que la France comme l'italie a aussi elle besoin de toutes ses forces vives sans exception comme le français Harry Roselmack afin d'accompagner sa patrie de plusieurs siècles dans ce troisième millénaire.

Nous invitons monsieur Morandini à mettre terme immédiatement à ce racisme anti français chez eux à travers la personne de monsieur Harry Roselmack avant poursuite au pénal.

Nous invitons l'italien Morandini à retenir ce point capital : il n'y a pas de honte à exister chez soit tous en respectant les autres existant chez eux.

Il est regrettable que les français de plus de 4 siècles ayant permis de racheter la Corse, Nice et bien d'autres contrés, ayant fait le Roi soleil, des Empereurs soient encore victime de dysfonctionnement lourd dans leur terre en leur qualité d'usufruitier de premier rang en 2008.

Ce fait ne saurait et pourrait continuer c'est notre engagement déterminé quitte à faire imploser la République si elle a faillit

Vive la France et les français, vive l'italie et les italiens.

Paris le 18 juin 2008

Olivier Germain

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12 mai 2008

CLAUDY SIAR goutes aux délices du CRAN

Cher Claudy,
Ta lettre de justification arrive bien trop tard, le mal est consommé et quoi que tu dises ou fasses tu as été le grand artisan de cette abomination. Tu n'es à ce jour qu'une vermine.
Dois-je te rappeler que tu as été averti par plusieurs personnes, que l'alliance que tu tissais avec le monstre Lozes et sa bande était mortelle pour les siens et aussi pour toi ?  Même MBOA qui a toujours pris cause et fait pour toi t'a prévenu en disant que tu jouais gros en t'associant avec le diable, puisqu'il va de ta crédibilité, comme tout ceci est visible sur son blog. Claire Aymes, cette gentille dame qui n'avait pour toi que respect t'a déconseillé de joindre Belzébuth; tu as même floué Joby Valente. Non tu as fait fort cher Claudy ! Sans compter les nombreux anonymes que tu as floués et qui aujourd'hui ne cherchent qu'une chose: se laver de l'affront que tu les as fait subir.
Il semble que l'appel du ventre était plus fort et assourdissant que tout cela t'a rendu sourd. Maintenant tu envoies un communiqué pour dire que tu as été dupé. Non on connait cette technique, elle ressemble étrangement à celle de l'ennemi: il détruit, massacre et ensuite vient dire "ô c'est mauvais ce que j'ai fait", mais entre temps, il profite des fruits de ses exactions tout comme tu goûtes en ce moment déjà aux délices de ton mariage avec le CRAN en cherchant à nous faire déguster tes larmes de crocodiles.
Ton torchon, tu peux te le foutre là où il te servira le mieux!

Message de Claire Aymes

Boudiou qué caguade !

 

( Caguade : situation relevant de la matière fécale en marseillais)

 

 

 

Alors tout s’éclaire ou plutôt l’horizon s’obscurcit dangereusement.

 

D’un Patrick Lozès, dangereux multi récidiviste bien connu des services de police, on s’en doutait peu ou prou, mais de Claudy Siar ?

 

Tu quoque fili mi « Toi aussi, mon fils ! »

 

 

 

Les compères font caguade élaborée sur caguade de base.

 

Un superbe hors piste dans lequel, en bons bourrins courant après l’argent et la reconnaissance, ils font l’ultime boulette sur les ancêtres rayés de la carte sur un air de tektonike.

 

Jusque là tout va bien pour les racistes et autres paternalistes, la relève est assurée. La catastrophe va pouvoir se produire au su et au vu de tous.

10 mai 2008

LES RAISONS D'UNE CONDAMNATION ANNONCEE

Un avocat a entre autres obligations auprès de sa cliente , les devoirs (obligations) d'information et de conseil. Me Collard a-t-il rempli ces obligations auprès de sa cliente  en l'espèce une association ?
Mais au delà de ce devoir que l'avocat aurait manqué vis-à-vis de sa cliente, la vraie question qui doit nous préoccuper est: Pourquoi cette cliente n'a t-elle pas suivi les "conseils sages et non calculés" de Me Missamou qui, par le passé et vis-à-vis de cette cliente et des résultats obtenus,  s'est toujours montré plus que disponible et généreux, pour aller répondre à l'appel de Me Collard ? Parce qu'il serait plus efficace et perspicace que Me Missamou, parce qu'il serait plus intègre que Me Missamou ? Ou alors Claude Ribbe aurait-il fait miroiter des choses auprès des responsables du M.N.H et imposer Me Collard auprès de celui-ci en prévision de son ascension à la mairie de Sarcelles ? Tant de questions qui trouveraient un jour réponse juste et appropriée ?

En prolongeant la réflexion,  il est légitime de se poser la question sur les réelles motivations des responsables des associations noires et autres "représentants". Servent-ils réellement la cause pour laquelle, celles-ci voient le jour ou alors d'autres projets plus mirobolants viennent hélas occulter la lutte en transformant ces associations en écrans derrière lesquels se trament des calculs en tous genres ?
Cette mésaventure est un classique chez les "noirs" et devraient nous interpeler tous quant à qui nous sommes et comment nous nous percevons. Pourquoi ne nous faisons-nous pas confiance mutuellement ? Faut-il mettre cette méfiance sur le seul dos de l'aliénation ?

Au vu des informations du dossier, Me Collard a manqué a deux, parmi ses obligations vis-à-vis de sa cliente et à ce jour le M.N.H a été condamné à payer 1 euro symbolique (mais victoire néanmoins)à Pétré de Grenouilleau, 4000 euros pour frais de parution, 2500 euros frais irrépétibles plus d'autres frais d'huissier. Car chose curieuse, le jugement a été rendu à la cliente par le ministère d'un huissier.

Dans l'obligation d'information, on peut par exemple remarquer que les différentes étapes de la procédures n'ont jamais été communiquées à la cliente, telles que par exemple:

  • Introduction de l'action
  • Evolution de l'instance [Les audiences de mises en états]
  • Dates des audiences
  • Non communication de la copie d'assignation
  • Non communication des conclusions
  • Non communication du rendu du jugement

Dans l'obligation de conseil, la cliente n'aurait pas été conseillée de sa chance de réussite de l'action intentée au vu de la jurisprudence dominante et de sa mise en action dans le civil dans l'affaire qui opposait le M.N.H au sieur Pétré de Grenouilleau.

Le M.N.H est quand même une des rares associations avec des résultats probants sur la lutte contre les exactions que connaissent les noirs dans ce pays, résultats obtenus par la perspicacité et l'abnégation de Me Missamou et cela est rarement souligné. Pourquoi le M.N.H s'est donc permis de "désavouer" ce fidèle serviteur pour aller se livrer dans/à Me Collard ?  Est-ce parce que ses dirigeants ont le ventre plus grand que l'esprit ? Tout ceci ne nous rend pas forts face à l'adversité d'en face et à leur capacité à s'organiser pour nous déstabiliser.

Voir  publication de la condamnation ici

Halte à la Manipulation: Un billet très instructif de MBOA dont l'esprit libre est toujours un plaisir à lire.

2 mai 2008

KARAM VA PRESSER LE CITRON JUSQU'A N'EN PLUS FINIR

Le collectif DOM que claude Ribbe a dû abandonner parce que les aspirations de ce qui au départ était une association et s'est transformé en secte, ne correspondait plus ni à ses idées, ni à sa personne. C'est vous dire le danger de cette secte qui voudrait parler au nom des domiens alors que s'y cachent des monstres dont l'opportunisme peut aller jusqu'à des actes inimaginables par l'entendement humain pour atteindre leurs objectifs.

Patrick Karam et Serge Romana plus antillais que ces gens venus d'ailleurs on meurt. Avec le plus Hongrois des français, le trio infernal a décidé de se mêler de l'histoire des noirs et imposer leur point de vue. Pendant que certains antillais pérorent encore sur la récupération de l'histoire par les Africains, ces gens qui disputent sur des inepties devraient peut-être déjà prendre la mesure de la chose en rappelant à Karam et compagnie de se mettre à leur place. Comme ces choses ne se font pas sans collaboration, il y a toujours un nègre pour faire de la lèche euh pour aider.

Des milliers de domiens ne se reconnaissent même pas dans cette secte, comme on peut le voir dans plusieurs sites domiens sérieux, car disent-ils, ses représentants roulent pour le diable et en Patrick Karam, toujours agissant, un opportuniste dont les aspirations sont aux antipodes des leurs.

Communiqué du COLLECTIFDOM,Communiqué du COLLECTIFDOM

La date du 23 mai enfin reconnue date officielle

 

 

Le COLLECTIFDOM remercie le Président de la République qui en officialisant la circulaire  5284/SG qui permet désormais à notre communauté vivant en métropole de considérer la date du 23 Mai comme :Journée du souvenir des victimes de l’esclavage Colonial

 

Cet acte faisant partie de son engagement alors qu’il était candidat a l’élection présidentielle en 2007.

 

Au Délégué Interministeriel Chargé de l’Egalite des Chances  des Français d’Outre-Mer Patick Karam qui n’a pas menagé ses efforts afin que ce dossier aboutisse

aux membres du CM98 , à son président Serge ROMANA, le Collectifdom adresse ses sinceres félicitations car c’est l’aboutissement d’un long combat.

 

La mémoire de Nos Ancetres sera enfin honorée, ce, de  facon  officielle .

La communauté antillaise  vivant en métropole aura desormais cette date bouclier du 23 mai de facon a la proteger contre toute forme  de récupération.

 

Pour le Collectifdom

 

Daniel DALIN

Président

Contact :pp.collectifdom@yahoo.fr

 

2 mai 2008

EUNICE BARBER DIT NON A LA MASCARADE

Pendant que Christine Aaron, Muriel Hurtis oublient que les gwadéloupéens, Guyannais, martiniquais etc. sont la cible de répressions aussi honteuses et scandaleuses en Métropole, pendant qu'elles ont oublié que Marie-Jo Pérec comme Eunice Barber ont été trainées dans la boue par la France, pour penser que les tibétains sont les seuls opprimés sur terre, il est important de voir que, certaines n'ont pas vendu leur âme à l'éphémère succès des projecteurs.

Eunice Barber* [rappelons qu'elle a été molestée par une bande de policiers et ces derniers s'en sont tirés à bon compte et pour cause, après tout ce n'est qu'une nègresse.] prouve que l'honneur et la dignité ne se bradent pas pour quelques honneurs qu'on aura vite oubliés surtout lorsqu'il s'agit de la France. Elle a donc, refusé de s'associer à cette mascarade de lutte pour la liberté, que la France a engagée en refusant le port du badge. Et c'est bien ainsi. Du CRAN, nous avons cette information. Décidemment, Lozes cherche à se racheter par tous les moyens. Mais vous êtes prévenu, nous vous avons à l'oeil.

Du CRAN parlons-en. Cet ersatz du CRIF s'est associé à Claudy Siar pour la célébration du 160 anniversaire de l'abolition de l'esclavage. De prime abord, comment faire confiance à Lozes et sa bande ? Eux qui ne sont pas à une avanie prête ? Et Claudy Siar qui s'associe à lui. A t-il peser le pour et le contre de cette "union" fusse t-elle ponctuelle ? Des questions légitimes que se poserait tout un chacun.

Mais comme MBOA, dont j'ai lu l'article ici, il est sage et indispensable de prendre à leur jeu, ceux qui manipulent le CRAN, comme c'est le cas avec sos-racisme, en lui intimant de parler maintenant au nom des noirs qu'il est censé représenter. Et de plus, il est temps d'aller sur le plan politique, je veux dire officiel et instrumentaliser le CRAN qui, comme dit MBOA, n'est la chose de personne mais des noirs. Pour moi, il n y pas meilleur moyen de prendre le Cran à ses propres contradictions. Quant à Claudy Siar, il sait qu'il joue gros dans cette affaire, il risque de tout gâcher si l'on découvrait qu'il se fourvoie comme certains écrits semblent le suggérer.

Vu le vent de négrophobie qui souffle aujourd'hui en France, les uns et les autres ont plutôt intérêt à s'unir, car la sarkoze n'épargne personne; noir bien entendu.

* Message reçu par courriel

RE.D.I.D Eunice Barber refuse de porter le badge des sportifs      à Pékin ...

"contact@lecran.org" <contact@lecran.org>
Communiqué de presse
Paris, le 1er mai 2008

Eunice Barber refuse de porter le badge des sportifs à Pékin : Le CRAN
rappelle que nul ne porte encore de badge en France pour s’opposer aux JO
des expulsions

Eunice Barber 5 fois médaillée d’or aux Championnats du monde d'athlétisme
a annoncé être opposée au boycott des Jeux olympiques et au port du badge
envisagé par certains athlètes français lors des JO de Pékin pour
protester contre la situation des droits de l'Homme en Chine et au Tibet
en particulier.

On peut partager ou non cette décision de ne pas porter le badge mais sa
justification est des plus implacables et des plus courageuses : Madame
Barber a déclaré mercredi matin sur Europe 1: « Il y a tellement de Noirs
et d'Arabes qui se font incendier en France. Là, les humanitaires ne se
lèvent pas ».

Cette phrase a suscité un tollé général immérité, car en France, en ce
moment, le Gouvernement organise entre les préfets, les Jeux olympiques
des expulsions sans que nul ne porte un badge de protestation.

En France les Noirs et les Arabo-maghrébins se plaignent de
discriminations massives depuis des années et pas grand monde n'aide les
associations qui les défendent.

De ce point de vue, le CRAN partage le constat amer de madame Barber : Il
faut d’abord balayer devant notre porte. C’est le simple bon sens.

Le geste de Madame Barber est fort, un peu trop fort peut-être, mais c’est
un appel aux consciences françaises, à toutes les consciences françaises à
rester en éveil.
Son geste nous interroge sur nos propres pratiques en matière de droits de
l'homme.

Quelle est la politique du Gouvernement en ce domaine ? Le candidat
Sarkozy avait promis une rupture, le retour à une France championne du
monde des droits de l'homme.

Où en sommes-nous aujourd'hui à l’intérieur de nos propres frontières ?


Contact :
Patrick Lozès
Président du CRAN
E-mail : contact@lecran. org

15 avril 2008

RSF et Ménard impliqués dans un scandale de corruption

Quelque chose nous disait que Robert Ménard appartient à cette race d'individus peu scrupuleux pour qui, la manipulation et l'escroquerie sont des instruments dont il se sert pour arriver à sas fins. RESF comme bien d'autres organisations de droits de l'hommiste, se révèle être un antre de la magouille en tout genre comme en témoigne l'information ci-dessous.

PAR JEAN-GUY ALLARD

Reporters sans frontières (RSF) garde un silence total depuis quelques jours sur la scandale de corruption qui dégringole sur les principales sources de fonds aux Etats-Unis, le Cuban Freedom Center, de l'agent de la CIA, Frak Calzon, ami personnel du Secrétaire perpétuel et autoproclamé de l'organisation française Robert Ménard.

Le porte-parole de Bush, Scott Stanzel, a révélé il y a peu que le cas de Felipe Sixto, un conseiller présidentiel sur les questions cubaines et de Puerto Rico qui travaillait durant des années avec Calzon a été transféré au Département de la justice après qu'a été découvert que ce fonctionnaire était impliqué dans des activités de détournement de fonds.

Menard reçoit depuis longtemps de généreux subsides de l’organisation de Calzon, avec lequel il a noué des relations d'amitié.

L'utilisation illicite de fonds provenant de la United States Agency for International Development (USAID) a été détecté à la fin de janvier 2008, selon la confession de Calzon dans des déclarations publiques dans lesquelles il nie désespérément toute responsabilité dans les activités criminelles de son bras droit.

Selon AP, Sixto a laissé son poste à l'organisation de Calzon et s'est incorporé au bureau des Affaires intergouvernementales de la Maison Blanche comme conseiller spécial du Président au mois de juillet dernier et « avait comme mission le contact avec les fonctionnaires hispaniques, les groupes indiens et les législateurs des états dans les affaires concernant les relations avec Cuba, Puerto Rico, l'hygiène, les questions du travail, ou du milieu ambiant ».

Jusqu'à aujourd'hui, Calzon s'est abstenu d'expliquer pour quoi Sixto, qui était son plus indispensable collaborateur, a accepté subitement de quitter son organisation l'été dernier.

le GAO AVAIT DEJA MIS LE DOIGT DANS LA PLAIE

Résidant à Washington, le Cuban Freedom Center prétend passer pour une « organisation non gouvernementale » dont la mission est de promouvoir « les droits de l4homme et la transition démocratique » à Cuba. Sixto, un cubain de Miami résidant à .Frederick, Maryland, entretient des relations assidues avec les membres connus de la mafia cubanoaméricaine.

RSF possède en Floride des liens étroits avec des individus identifiés par le FBI lui-même comme terroristes et avec des groupes qui appuient ouvertement le terrorisme contre Cuba.

« Rien jusqu'ici ne met en relation le Cuban Freedom Center et je suis sûr que rien (en plus) ne l'a impliqué ou est actuellement impliqué dans ces activités », a juré Calzon à la AFP. L'agence Française affirme dans un câble que l'organisation de Calzon et de Sixto a envoyé à Cuba « des milliers de livres, ordinateurs portables, radios ondes courtes et médicaments »

Cependant, une enquête du General Accountability Office (GAO) un bureau de contrôle du gouvernement fédéral dans un rapport de 50 pages publié il y a quelques mois note que très peu des dizaines de millions distribués pour la USAID sous la Rubrique Cuba est effectivement parvenu dans l'île.

Un nombre important des organisations parasitaires de la « dissidence » de Miami s'est approprié cette fortune quand elle a touché la Floride.

Plus de 95% , c'est-à-dire la quasi-totalité des 65,4 millions du budget Cuba de la USAID examiné par le GAO a été attribué «en réponse à des propositions non sollicitées » sans justification légale, révélait le rapport.

Parmi les grands bénéficiaires de cette opération de détournement de fonds on trouve Cuban Freedom Center, de Calzón, qui a bénéficié de plus de 5 millions entre 1996 et 2005.

Comme si cela n'était pas suffisant, la USAID a reçu des subsides également de National Endowment for Democracy (IRI) et de la International Republican Institute (IRI), deux autres pourvoyeurs de RSF. Ce n'est pas par plaisir que Robert Ménard maintient un bureau à New York, et dispose d'une signature comptable en Virginie, à quelques minutes du Bunker de la CIA, en plus d'un compte bancaire nord-américain auquel lui seul a accès.

CALZON, UN EX TERRORISTE DU GROUPE ABDALA

A la fin des années 60, Frank Calzon, alors agent spécial de la CIA, a été le dirigeant du groupe terroriste Abdala, lié au mal nommé Front de Libération National de Cuba (FLNC).

Calzon devint à être directeur exécutif de la Fundación Nacional Cubano Americana (FNCA), depuis sa création en 1981, sous la directive de la Maison blanche de Ronald Reagan. Une organisation connue pour son appui aux activités criminelles du terroriste Luis Posada Carriles.

A partir de 1987, il passa à l'organisation d'extrême droite Freedom House pour là se créer une organisation propre,le Cuban Freedom Center, qui immédiatement reçut 400 mille dollars de la part du Gouvernement des Etats-Unis.

Ménard a connu Calzon à ce moment-là par l'intermédiaire de Otto Reich, un autre haut fonctionnaire nord américain, né à Cuba de père autrichien.

Durant ces années Robert Ménard nia ses relations avec Calzon.

En mars 2004, Ménard et Calzon se présentèrent en public ensemble, avec une mercenaire connue de Miami, Silvia Iriondo, dans une réunion avec les députés européens, provoquée par les alliés de José María Aznar dans l'Union Européenne.

En mai, Calzon mit la main sur 5 des 34 millions que Bush avait assignés pour la bonne marche de son plan d'annexion de Cuba. Reporters sans frontières s'est alors attribué une part du gâteau. Cependant, il fallut attendre un forum sur internet de l'hebdomadaire Nouvel Observateur, le 22 octobre 2004, pour que le chef de RSF reconnaisse ouvertement ses liens avec l'ex-agent de la CIA.

Pendant ce temps-là il développait en France des campagnes médiatiques qui montraient aux secteurs progressistes, que le chef de RSF obéissait aux directives très claires des renseignements nord-américains, Ce qui expliqua pourquoi il resta silencieux il y a peu quand d'importants médias progressistes comme la page web rebelion.org et l'Agence Bolivarienne d'Information ont été censurés par divers serveurs d'Intenet en Suisse et d'autres pays d'Europe.

Face au scandale Sixto-Calzon, Ménard a préféré éviter la question et réaliser en France une bruyante campagne contre la Chine, avec la presse française, propriété des mêmes grandes fortunes qui le soutiennent.

Néanmoins à Miami, il apparaît que la cas Sixto-Calzon est seulement la pointe de l'iceberg et que de nouvelles investigations pourraient promptement révéler d'autres scandaleux chapitres de la sale guerre contre Cuba menée depuis 50 ans par le gouvernement de Washington.

J.G.Allard

Canada



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